Khabarak

FORMULAIRE de: Khabarak

Espèce: Noghri

XP:0
Niveau:1

Argent emporté:5000
Argent en banque:0

Avertos: 0

Métier: Assassin (possible changement de carrière vers militaire)
Talent 1: tueur né
Talent 2: ombre

Caractéristiques:

PUI:12
CON:12
RAP:15
DEX:15
INT:10
DIS:10
PER:15
CHA:10


Bonus Compétences:

Armes Blanches:18
Armes de Tir:0
Médecine:0
Discrétion:18
Vol:0
Mécanique:0
Pilotage:0
Sciences/Informatique:0
Commerce:0
Athlétisme:0
Agilité:5
Rhétorique:0
Stratégie:0
Esquive:5
Combat à Mains Nues:0
Vigilance:4
Natation:0
Langues:0
Biologie et Chimie:0
Intimidation:0


Histoire:

Quelque part dans l’espace au abord de la planète Koboth. Le Nébulus, vaisseau du capitaine Strauss était plongé dans le noir.

-Que fou Johnson, ce mécano aurait du remettre le vaisseau sur pied déjà, voilà qu’on se retrouve sur le système auxiliaire… Karx aller vérifier.

Le Rodien acquiesça de la tête et se dirigea vers la salle des machines. Strauss semblait quelque peu contrarié, il était en retard sur son horaire et ses employeurs n’étaient pas trop du genre à attendre. Il regarda le contrat sur son bureau un petit sourire en coin, au moins il avait remplit sa part du marché. Son comlink s’activa.

-Ca…capitaine, Johnson est… argrgr. Il s’en suivit un bruit sourd, comme celui d’un corps qui tombe contre le sol, puis la communication fût coupée. Brig, le second se retourna vers Strauss.

-Qu’est-ce que c’était capitaine ? Le jeune homme semblait visiblement troublé et le Duros le remarqua.

-Sûrement de l’interférence Brig, ne vous en faites pas. Vous devriez tout de même aller vérifier avec votre frère. Demander à Gorax de monter la garde devant ma porte et que l’on ne me dérange pas.

Le jeune homme n’eût d’autre choix que d’accepter et il quitta la chambre du capitaine puis distribua les ordres à Gorax. Le Gamorréen avait l’habitude de se poster devant la porte de son patron lorsque ce dernier avait des choses de haute importance à faire, il ne posa donc aucune question. Une fois la porte refermer, Strauss la verrouilla, plus par habitude que par précaution, puis retourna derrière son bureau en attendant l’appel de son second. Il n’eût guère longtemps à attendre, le comlink grésilla de nouveau. La voix de Brig était chancelante.

-Capitaine… mon frère est… mort… ainsi que notre pilote. Je… je vais trouver cet enfoiré et il me le paiera. Un coup de blaster retenti dans le comlink. La voix du jeune Brig semblait ravie. Je crois que je l’ai eu, je vais vérifier!... Et merde… c’était notre médecin de bord… il n’aurait pas du…
Le comlink grésilla de nouveau puis plus aucune communication ne se fît entendre.

Le Duros était sous le choc, tout cela semblait invraisemblable. La sueur perlait sur son front. Il cria à Gorax d’être sur ses gardes, qu’il y avait peut-être un intrus à bord du vaisseau. Il se dirigea ensuite vers son armoire et en sorti son DC-15. Ses pensées se bousculaient dans sa tête, qu’est-ce qui avait pût si mal aller… Tout cela avait commencé après qu’ils aient récupéré cette foutu capsule de survie vide. Au début ils avaient espéré y trouver un être vivant pour le revendre en esclavage mais ses hommes n’avaient rien trouver dans la capsule. De toute façon qui aurait pût leur en vouloir et leur envoyé un « liquidateur », ils avaient tenu leurs activités secrètes. Sa main se mit soudain à trembler. Ils étaient arrêter dans ce bar, le Bantos Bourru, après leur mission et lui et ses hommes avaient bût, beaucoup bût... Aurait-il pût… Le Duros fût sorti de ses pensées par un son lourd et grave provenant de l’autre coté de la porte, il appela son garde du corps, aucune réponse ne vînt.

Le capitaine Strauss tenta de se rassurer, il avait vu bien pire et s’était tirer de bien plus fâcheuse situation. De toute façon avec sa porte verrouillée, personne ne pourrait entrer sans la forcer et sans qu’il ne s’en aperçoive. Il retrouva donc un peu son calme et se dirigea derrière son bureau. De là, il lança un appel à l’aide sure les ondes du vaisseaux qui étaient relié à son bureau, peut-être d’autre vaisseaux l’intercepterait-il et viendrait à son secours. Un petit bruit le fît sursauter, il scruta la pièce du regard, inquiet. Foutu statique, je ne m’habituerai jamais. Il termina son message, se leva et lança dans le vide, d’une voix de défie pour celui qui se trouvait de l’autre coté de la porte.

-Je suis le capitaine Kamal Strauss ! Et je n’ai pas peur de toi, entre si tu l’ose !

-Ô si tu as peur !

Le capitaine sursauta, la voix venait de derrière lui, il n’eût guère le temps de se retourner, qu’une lame se plantait derrière sa nuque avec violence. Il s’écroula sur le sol mort. Sur son bureau étaient ses ordres qu’il avait reçu de la Fédération, un travail d’extermination de travailleurs rebelles. Ses hommes et lui s’en étaient donner à cœur joie et dans un excès d’alcool, il avait divulgué leurs exploits dans un bar. Un homme présent à ce moment sembla fort contrarié. Il réussi à connaître leur prochaine destination, ce qui n’avait pas été difficile vu l’état avancé dans lequel ses interlocuteurs se trouvaient. Il alla engager un « professionnel », il considérait cela comme sa vengeance personnel pour le meurtre de ses frères. Il fût étonner de voir son « employer » refuser l’argent pour le travail, parlant d’honneur et de principes, qu’il ferait une exception pour cette fois. Il n’en demanda pas plus, heureux de l’affaire qu’il venait de conclure.

Le Noghri essuya sa lame couverte de sang, il avait remplit sa part du contrat. Il se rendit d’un pas vif vers le hangar du vaisseau où l'attendait deux de ses frères. Ils y avaient remarqué une navette de transport, que les mercenaires devaient utiliser pour rejoindre l’atmosphère des planètes qu’ils visitaient. Ils se débrouillèrent pour lancer les moteurs puis enclenché le pilote automatique afin de se diriger, puis se poser, sur Koboth. Là, ils abandonnèrent la navette puis se firent des au revoir chaleureux, ils partirent chacun de leur coté. Khabarak rejoignit le spatioport le plus près puis s’embarqua dans le premier vol vers Coruscant. Il avait entendu parler entre les branches d’une petite organisation à qui il pourrait bien offrir ses services.

Le passé:

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Honoghr, quelques années plus tôt… Le jeune Khabarak venait tout juste d’atteindre l’adolescence. La Grande Mère, la chef du clan, l’avait appelé plus tôt, il s’était rendu à elle dans le dukha, construction centrale de chaque clan Noghri. C’est là, qu’elle lui avait annoncé que son entraînement allait commencer dès aujourd’hui. Cet entraînement était celui de la voie des assassins Noghri de son clan.

Depuis sa tendre enfance, il avait dût survivre dans les conditions exécrables de sa planète, empoisonnées par une toxine, lors d’un conflit spatiale de jadis. Ceci avait fait de lui un être robuste et vif, malgré son jeune âge, constamment obliger de se battre pour survivre. Il savait que l’entraînement qu’il allait subir lui permettrait de mieux survivre, mais également qu’il ferait de lui un tueur. Cette perspective était un peu troublante pour le jeune Noghri. Son peuple avait de fort principe d’honneur, tout comme le peuple Wookie et pour lui tuer d’autre Noghri était un sacrilège. Il avait pourtant vécu la mort de plusieurs de ses frères, par des membres d’autres clans et il savait que s’il n’apprenait pas ce qui allait lui être enseigné, sa propre mort ne serait pas bien loin. C’est donc avec ces idées diamétralement opposées qu’il se dirigea vers la hutte de l’ancien qui allait devenir son formateur.

La hutte était plongée dans le noir absolu et aucun signe de vie ne s’y faisait sentir. Khabarak avança lentement, interpellant Karkam, son futur maître, quand soudain il fût saisit par derrière et senti un vive douleur à son bras gauche. Une lame sombre venait tout juste d’être entrer dans son membre.

-Cette blessure, je te l’inflige afin que tu te rappelles, que tu te rappelles de toujours être vigilant. De ne jamais agir précipitamment, d’utiliser tes sens, ne pas foncer tête baisser dans un endroit inconnu. Mais encore plus, cette blessure je te l’inflige afin que tu garde en tête que sur la voie qui te sera enseigner, la douleur, quel soit de corps ou d’esprit, sera toujours présente.

Karkam retira la lame du bras de son jeune apprenti, Khabarak poussa un cri de douleur, portant sa main droite sur sa plaie. Il regardait l’ancien avec haine, prêt à lui sauter à la gorge avec ses griffes.

-Ce ne serait pas une bonne idée mon petit, certes ta colère te rend plus fort, mais ton esprit en ce moment n’est pas assez calme et j’en aurait fini de toi en seulement quelques secondes. Tiens prend cela et applique le à ta blessure, elle soignera rapidement. Tu en garderas toutefois les stigmates toute ta vie… afin que tu te rappelles mes propos. Il tendit un onguent au jeune Noghri qui s’empressa de l’appliquer à sa plaie. Va te reposer, demain commencera ton véritable entraînement.

Khabarak avait appris à la dure aujourd’hui et il se doutait qu’il en serait ainsi tout au long de son entraînement. Le lendemain et les jours qui suivirent, Karkam s’appliqua à lui enseigner l’art de la subtilité, ce qui lui avait permis de le surprendre lorsqu’il entra dans sa hutte. Khabarak dût s’entraîner à devenir une ombre, à ne faire qu’un avec son environnement. L’entraînement était ardu mais il apprenait rapidement. Ensuite Karkam commença à lui montrer comment ce battre, enfin comment tuer. Des frappes rapides à certains endroits vitaux pouvaient venir à bout de n’importe quel adversaire, selon son maître. Le jeune Noghri dût donc apprendre ces techniques. Puis vint l’entraînement avec les armes blanches, armes de prédilections des Noghris, qui préfère l’honneur d’un combat corps à corps à celui des armes à distance. Son entraînement dura quelques années et finalement, Karkam le jugea digne d’être reconnu comme assassins du clan.

Khabarak continua son travail auprès de son clan lors des années suivantes, il était envoyé avec d’autres membres pour « intervenir » face au clan ennemi. Ces années furent les pires de la vie du jeune Noghri. Il n’avait jamais accepter de tuer d’autre Noghri, mais il effectuait quand même ce qu’il considérait comme un crime, sachant que sinon son propre clan serait éliminé.

Khabarak venait tout juste d’atteindre la majorité lorsqu’un évènement qui allait changer le cours de sa vie se présenta. Une navette Lembda c’était posé non loin du territoire de son clan et la Grande Mère avait envoyé son groupe en éclaireur pour les prévenir d’un éventuel danger. Sur le site, ils trouvèrent quelques Trandoshans occupés à déployer du matériel qui leur servirait à capturer ce qu’il devait trouver sur cette planète. Karkam qui dirigeait le groupe envoya un éclaireur rapporter ce qu’ils avaient trouvé au village. Les autres membres du groupe devaient demeurer cachés. Pendant ce temps les Trandoshans avaient terminés leurs préparatifs et leur groupe se mît en marche sans se rendre compte qu’ils étaient suivît par les furtifs Noghris.

Le destin se scelle parfois d’une drôle de façon et c’est exactement ce qui arriva à Khabarak. Tandis que leur groupe suivait les Trandoshans, ils tombèrent sur un clan ennemi qui attaqua ces derniers. La bataille fût brutale et alors que les Noghris du clan opposé, plus nombreux, allait l’emporter, Karkam décida qu’il était temps d’intervenir. Khabarak se retrouva dans la mêlée et sa lame trouva la gorge d’un Noghri ennemi. Il n’avait toutefois pas remarqué un autre adversaire, cacher dans l’ombre, qui sans l’intervention d’un Trandoshan, l’aurait littéralement pourfendu de la tête aux pieds. La bataille avait pris fin et il ne restait que deux Trandoshans de vivant dont celui qui lui avait sauvé la vie. Khabarak prêta serment au Trandoshan de le servir jusqu'à sa mort pour l’avoir sauver et son groupe raccompagna les deux survivants dans leur village. Là, on festoya pendant toute la nuit. Toutefois, le lendemain, les deux survivants désirèrent quitter la planète au plus vite. La Grande Mère qui avait été mise au courant du serment posé par Khabarak lui permis de quitter la planète au coté du Trandoshan. Ce dernier ne savait pas trop comment prendre la nouvelle, il savait que les Wookies posaient de tels serments mais cette créature… Enfin, il accepta de prendre le Noghri avec lui, lui et son comparse pourraient très bien le revendre comme esclave plus tard…

Ce n’est qu’une fois à bord du vaisseau et sorti de l’atmosphère de la planète que Khabarak comprit l’intention des Trandoshans. On le drogua lors d’un repas. Il se réveilla dans une cage, pris au piège. Le Trandoshan qui l’avait sauvé se moqua de lui et de son système d’honneur ridicule, le comparant au Wookie qu’il aimait tant chasser. Il lui dit qu’il lui rapporterait au moins un peu d’argent pour tout les problèmes qu’il avait vécu sur sa planète.

Toutefois, Khabarak devait encore une fois être sauvé. Alors que le vaisseau Trandoshan approchait d’Alderaan, pour rencontrer leur contact, pour discuter de la vente de ce dernier, il fût intercepter par un vaisseau des FAR. Les Trandoshans essayèrent de leur échapper, mais en vain. En peu de temps, ils furent arraisonnés, puis mis en état d’arrestation pour esclavagisme. Khabarak étonné, avait été libéré, on lui avait proposé de le raccompagner sur sa planète natale, mais il refusa. Il en avait assez de devoir tuer d’autre Noghri et Alderaan semblait être un bel endroit pour se refaire une vie.

Histoire (suite) :Le passé sur Alderaan:
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La navette des FAR venait de se poser sur Alderaan. Alors que la rampe d’accès descendait, la lumière jaillie à l’intérieur du vaisseau, aveuglant temporairement le Noghri. Khabarak était encore sous le choc des évènements qui venaient de se produire, la capture des Trandoshans, sa libération… On poussa les Trandoshans hors du vaisseau, ils devaient être transférer abord d’une autre navette vers Coruscant pour y être jugé pour esclavagisme. L’émerveillement fût énorme pour le Noghri lorsqu’il descendit la rampe d’accès, la beauté incomparable d’Alderaan le sidérait. La ville d’une propreté exemplaire dont l’architecture à depuis longtemps fait la réputation de la planète. Au loin, des montagnes, des plaines et des forêt, toutes plus belles les unes que les autres. Quel contraste pour Khabarak qui n’avait vu jusqu’à présent qu’Honoghr comme planète. Sa planète natale, dévaster par un virus, pleine d’herbe haute d’un jaune brûler, de buissons rabougris et d’arbres mort, même les rivières étaient en majorité sale et empoisonnés. Alderaan lui sembla irréelle.

La commandante du vaisseau, qui l’escortait à l’extérieur, remarqua cet émerveillement et lui demanda si tout allait bien aller. Le Noghri acquiesça, ne voulant pas laisser paraître sa déstabilisation. La jeune femme sourit puis retourna abord du vaisseau souhaitant bonne chance a Khabarak dans ses entreprises. Le Noghri marcha d’un pas nonchalant vers la sorti de l’astroport, après quelques minutes de déambulation dans les rues de la ville, il commença à avoir faim. Habituellement, il mangeait avec son clan, ce qu’ils avaient réussi à capturer, mais ici… Un jeune homme passait à ce moment près de lui, il décida de l’intercepter et de s’informer.

-Pardon… j’aimerais manger…

Le jeune homme se retourna, regarda son interlocuteur puis, pris de panique, il s’enfuit en courant. L’apparence du Noghri, avec ses griffes pointues et ses dents acérées, qui lui signifiait son désir de manger avait suffit à effrayer l’étudiant.

-Mais je… Les gens sont étrange ici.

Khabarak ne se découragea pas et il tenta l’expérience à nouveau, cette fois-ci avec plus de succès. La vieille dame, qui avait remarqué sa déstabilisation lorsqu’elle avait mentionné le restaurant Chez Dexter, se proposa de l’accompagner jusqu’à la porte du restaurant. Après quelques minutes il se retrouva donc à une table un menu à la main, ne sachant pas trop quoi faire avec. Le droid vint pour prendre sa commande, le Noghri lui signifia qu’il avait faim et qu’il prendrait ce que le droid choisirait pour lui. Le serveur s’empressa de commander le plat le plus dispendieux et l’apporta au Noghri. Cependant, le plaisir que ce dernier éprouva lors du repas, fût de courte durée. Lorsqu’il eût terminé, le serveur vint lui porter l’addition, lui demandant de payer. Khabarak, qui ne comprenait pas les propos du droid, se leva et se dirigea vers la sortie. Le droid alerta les forces de l’ordre qui vinrent arrêter le Noghri. Ce dernier ne comprenait pas ce qui se passait mais il préféra ne pas résister à ces quatre hommes armés. Il se retrouva donc, encore une fois, au fond d’une cellule, sans trop comprendre pourquoi. Il y passa la nuit seul sans la moindre explication.

Le lendemain, un homme entra dans sa cellule et après une heure de discussions avec le Noghri, conclu que ce dernier n’était qu’un primitif qui n’avait aucune connaissance du système galactique. Il réussi donc à le faire sortir de prison. En échange, il devait aller travailler dans les bas quartiers auprès des pauvres pour payer sa dettes à l’état. Le Noghri n’avait eu d’autre choix que d’accepter. Il se retrouva donc dans un accueil, à servir la nourriture au pauvre. Même si le travail était dégradant pour Khabarak, il n’avait pas à ce plaindre, il était loger et nourrit pendant ce temps. Là, il commença à développer des liens, avec des gens plus louches des milieux pauvres, qui lui disait qu’il pourrait faire beaucoup d’argent à travailler avec eux. On lui proposa d’aller rencontrer deux contacts dans un bar non loin de son endroit de travail. Le Noghri accepta et il se dirigea vers le bar une fois son travail terminé. Quelle ne fût pas sa surprise, lorsqu’il remarqua que ses contacts étaient comme lui, des Noghris. Ces deux confrères furent tout autant étonnés, mais ravi.

Ils prirent Khabarak sous leurs ailes et commencèrent son éducation au mode de vie hors d’Honoghr. Il apprît ainsi à se débrouiller avec les outils technologiques de la vie courante et en apprît un peu plus sur les mœurs et coutumes hors de sa planète natale. En échange, Khabarak effectuait quelques petits boulots de liquidation pour ses confrères, travail dans lequel il avait certes plus de talent que son dernier emploi. Il commença ainsi à faire un peu d’argent, qu’il dépensait rapidement.

Il devint un habituer du bar, le Banthos Bourru, où lui et ses deux frères côtoyaient les malfrats d’Alderaan. C’est dans ce bar, que le trio trouvait la majorité des contrats qu’ils recevaient. Ils eurent différents contrats à exécuter pendant l’année précédant les évènements du Nébulus, dont un où ils durent liquider un membre infiltrer de la FDC. Ce dernier devait saboter les opérations dans les camps de réfugier. Le ministre, qui était venu leur porté la mission, avait spécifié que la liquidation devait demeurer secrète, car les forces d’Alderaan ne voulaient pas laisser paraître une infiltration au sein de leur groupe, ce qui aurait entacher leur réputation au niveau galactique.

Puis vint un homme qui offrit à Khabarak un contrat que ce dernier accepta sans salaire, il allait payer de sa poche ses partenaires d’affaires actuels afin qu’il l’aide dans cette entreprise. Les trois Noghris trouvèrent un contrebandier à qui on paya le transport près de Koboth. Là, ils se firent lancer abord d’une capsule de sauvetage dans, ce qui allait être, la trajectoire du Nébulus. Le vaisseau les récupéra comme prévu, mais ne trouva aucune forme de vie dans la capsule, les Noghris étant dissimulés dans un compartiment secret. Une fois les hommes du Nébulus sorti du hangar, les Noghris sortirent de leur cachette et le massacre du Nébulus eût lieu.
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Description physique : Haut d’un mètre soixante, Khabarak est dans la moyenne des Noghri mâle. Sa peau est grisâtre et ses yeux d’un noir de jais. Malgrès sa grandeur, Khabarak possède la forte musculature, typique des Noghris, et un corps dotés de nerfs vif et fort. Ses réflexes sont également très aiguisé, autre point qu’il partage avec les membres de sa race. Ses mains son terminés par des griffes acérer et à sa mâchoire l'on peu voir des dents pointus, deux traits qui parfois effraie les gens. On peut aussi constater une entaille sur son bras gauche, cette cicatrice lui sert de souvenir de l’enseignement de son maître, Karkam.

Description Psychique : Fort des principes d’honneur des Noghris, Khabarak est prêt à porter un serment de services jusqu’à mort, semblable à celui des Wookies, si il doit la vie à quelqu’un. Il prend maintenant plus de précaution dans l’énoncer de ce serment, c’étant fait joué de lui lorsqu’il émis son premier. Il n’accuse aucun remords à tuer, et ce sans salaire, si la cause lui semble juste. Son esprit s’étant depuis longtemps habituer à son métier, il n’exprime de remords dans son art que lorsqu’il l’exécute face à ses pairs. Gagner sa confiance peu prendre du temps, spécialement depuis la traîtrise du Trandoshan, mais lorsque vous l’avez, vous aurez un ami fidèle. Ayant été élevé sur une planète un peu moins "civilisée" il lui reste encore beaucoup de chose a apprendre sur la vie dans une galaxie surpeuplé. Heureusement pour lui ses deux confrères l'aidèrent à mieux s'adapter et il est aujourd'hui plus facile d'approche ayant laisser tomber la majorité de ses barrières xénophobe. Les technologies modernes le déstabilise encore un peu.