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Maximilian de Metternich

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Maximilian de Metternich Empty Maximilian de Metternich

Message  Palpatoine Sam 14 Mar - 22:55

Le texte est prêt à être évalué ; il manque simplement le parcours et la transition que je rajouterai d'ici peu. Je demande de l'indulgence par avance de l'excessive longueur de l'histoire que j'ai amélioré (j'espère) par rapport à l'original, mais dans un manque total d'esprit de synthèse.

FORMULAIRE de Maximilian de METTERNICH

Informations:

XP:1600
Note : Si mes souvenirs sont exacts, les évènements qui vont de la fin du sommet de Nubia à la Réintégration de Naboo devaient être récompensés d’XPs, selon la promesse du Bienveillant Beetlejuice ; mais cela a peu d’importance.
Niveau:2

Argent emporté: 8914
Argent en banque: 3422

Avertos:0

Métier:(à la reprise) Secrétaire d’Etat chargé des affaires intergalactiques de la République
Talent 1: Leader né
Talent 2: Empathie humaine

Objets possédés:
- Communicateur Holonet intraplanétaire (il me semblait en avoir acheté un interplanétaire, je me trompe peut être, il faudra voir [le jour de l’attentat à la boutique holonet, justement])

Formations effectuées:

Formation politique, spécialité juridique et diplomatique.

Statistiques:

Caractéristiques:

PUI:10
CON:10
RAP:10
DEX:10
INT:18
DIS:13
PER:16
CHA:14

Bonus Compétences:

Armes Blanches:
Armes de Tir:
Médecine:
Discrétion:20
Vol:
Mécanique:
Pilotage:
Sciences/Informatique:
Commerce:
Athlétisme:
Agilité:
Rhétorique:20
Stratégie:
Esquive:
Combat à Mains Nues:
Vigilance:15
Natation:
Langues:
Biologie et Chimie:
Intimidation:

Background:

Nombre de Points bonus obtenus pour votre Bg: 10

Race:
Humain

Histoire:

Maximilian de Metternich est né sur Bonadan, dans le marquisat de Metternich-Saxbourg-Gotha, qui, à l’exemple de toutes les pairies bonadiennes, était un chaos indescriptible de basiliques, de sièges sociaux et d’usines. La famille était composée d’un père relativement influent et bienveillant, une mère soucieuse de l’éducation de ses enfants, un palais, une charge, trois enfants, pas de problèmes. On ne signalait dans cette lignée aucun aïeul remarquable.

Maximilian eut le malheur d’être le frère puîné, il n’accèderait partant ni aux honneurs de la Cour, ni aux titres afférents. L'aîné fut l’objet de toute les attentions, peu affectives mais prévoyantes, de ses parents, qui ne voulaient pas, dans leur logique comptable, que le moindre Metternich ne fisse déshonneur à la lignée. Il eut la liberté de choisir donc comme son cadet les études de son choix, et celles-ci se portèrent sur la politique, et le droit.

Il se trouva très rapidement une passion pour l’Histoire, et plus particulièrement celles des religions. Par nature sans doute, et aussi grâce à l’éducation appliquée de son père. Celui-ci, technocrate influent à la Cour, était érudit en histoire, s’épanchant en anecdotes, suscitant la plus grande admiration de ses deux derniers fils. Maximilian s’éloigna du premier, qu’il jugeait inconséquent, et se rapprocha du second, dont il partageait la nature effacée et appliquée. Il se fit alors grand observateur. Très discret, il se faisait peu remarquer, mais écoutait tout, retenant tout, sentant bien qu’un jour ce lui serait utile, car comme disait son père, ils « étaient nés pour de grande chose » (phrase éculée dans les milieux aristocratiques). Il reçut une éducation d’une banalité heureuse, dans la religion orthodoxe et apostolique, dans un respect un peu éloigné du système capitaliste bonadien ; d’avantage dans une sensibilité de justice et de religiosité auxquels tenait le marquis de Metternich. Dans le souvenir du futur cardinal de Metternich, il demeurera cet aimable vieillard discret, d’une subtilité et d’une intelligence qui composaient son charisme, malgré le défaut de voix puissante, et qui devait nourrir, Maximilian le pensait mais ne le sut jamais vraiment, une haine farouche contre l’esprit consumériste bonadien.

On le considéra comme trop effacé, on le cru parfois mutique et mal assuré. Mais il s’appliquait à parler quand il fallait, et en ces rares occasions il voulait le faire bien. Sans orgueil, il possédait assez d’amour-propre pour éviter tout défaut de confiance en soi ; cependant le monde extérieur suscitait une certaine crainte. Il poursuivit ses études avec une certaine volonté. Les familles bonadiennes manquent de chaleur en leur sein, on sent ici comme l’influence déjà glaçante de la recherche du profit à tout prix planétaire. Elever ses enfants pour en faire quelque chose est un devoir, une nécessité ; aussi la structure familiale bonadienne est-elle une antichambre de ce monde carnassier « libéral » (on retrouve ce sentiment d’avantage chez sa mère qui dominait largement la figure paternel). Maximilian cultiva son indifférence, dans la froideur des palais, et l’ombre des courtisans ; il se contentait d’apprendre.

La Magistrature

Il eut bientôt achevé ses études. Maintenant, il voulait aider son Etat. Ce sentiment, par l’enseignement assidu de son père se présenta comme une prédisposition naturelle. Il passa ses concours pour devenir magistrat, car il n’y avait rien de plus noble que de rendre la justice. M. de Metternich devint Substitut du Procureur royal. En tant qu’enquêteur, il eut à inspecter avec ardeur les vies et esprits de différents accusés ; c’est sans doute de là que ce plaisir malsain naquit. Les découvrir, au mépris de tout aspect humain ou technique était une joie. Son regard noir, profond et inquisiteur, scrutait tout, et découvrait tout ; abusé souvent par son pouvoir, aveuglé par sa soif. Comment concevoir quelque chose de plus plaisant que de percer au plus profond le secret de quelques insignifiants, d’exercer un véritable pouvoir ? Mais il fallait en faire quelque chose. Après quelques années et de bonnes relations plus loin, le voici Procureur du Roi. Il utilisa ces techniques pour mieux contrôler ses substituts (découverte des joies de la hiérarchie), dont il apprit tout pour mieux les manipuler, avec ruse et prudence, frappant discrètement les indociles, récompensant sans emphase les méritants. Il prenait plaisir à se complaire dans des manœuvres compliquées pour des affaires insignifiantes. Entamer des réquisitoires meurtriers, se plonger au coeur des autres et en toute légalité, lui procura une grande confiance dans l'avenir.

Son père mourut d’une crise quelconque. Devant le linceul paternel, durant la veille devant cet illustre cadavre, M. de Metternich conçut avec acuité l’immense vide que peut représenter la perte d’un être admiré. Il n’eut jamais plus, de sa vie, une plus grande tristesse, alors que les larmes coulaient sur ses joues creuses. Il regarda avec commisération sa pauvre mère se pâmer, sûr de la comédie à laquelle elle se livrait ; son mépris pour sa vanité se confirma.

Cependant, à plusieurs occasions, il se trouva être manipulé, à force de trop se découvrir. Il faut savoir qu’être magistrat, c’est s’exposer aux différentes pressions clientélistes des prévaricateurs. Certains contacts abusaient de sa position, et s'en servaient. Il n'y avait pas d'amis, il n'y avait que des intéressés ; c’est de là que cette conviction naquit. Aussi, les amis de M. de Metternich furent-ils rares. Il y avait bien ce docteur Buto, un remarquable praticien de la capitale, et son ami d’institut qui devint prêtre et le resta, le P. Kalv.

On le trahit à plusieurs occasions, dissipant quelques illusions qu’il concevait encore. Il se renfrogna encore plus, et préféra quitter la magistrature, agacé d’être accusé de harcèlement moral, de favoritisme, le lieu commun du magistrat. Disposer directement du pouvoir est une erreur, trop exposé, convoité. De toute façon, l’Etat était perverti par l’Argent, son père avait raison. Sans qu'il n'en montrât rien – il resta loin de ce sujet qu'il jugeait épineux – il prenait ce système uniquement fondé sur le profit (lui même n'accordait, par rapport aux autres bonadiens, qu'une part discrète à l'argent) en aversion. L’Etat perdait toute autorité, sous le règne d’Hygnus II le Bègue.

L’Eglise

Quelle voie choisir alors ? L’Eglise orthodoxe, apostolique et bonadienne, naturellement. La croyance est monothéiste en Dieu et ses Apôtres, qu’elle s’attache à défendre la Justice, la Raison et l’Obéissance ; elle justifie le régime et tente d’accorder un peu de moral au système (sans succès). L’Eglise était redoutablement puissante et complexe, et disposait d’un caractère semi divin. M. de Metternich était croyant, par conformisme. Il se passionnait, nous l’avons dit, pour l’influence que procure la religion, sur cet étrange pouvoir immanent, sur cette immense espérance comme cette source de déraison. Oui, la foi le passionnait, et le paraissait bien plus épurée de tous les vices qui sanctionnaient l’exercice régulier du pouvoir.

En étant prêtre, on avait grand contrôle sur les gens, si craintifs du courroux divin. (plus que la justice, en tout cas). Il trouva dans la prêtrise une solution : il était humble religieux et personne ne s'intéressait à lui, mais lui s'intéressait à tout. Il restait caché derrière une longue bure noire soulignant la finesse et l'élégance de ses membres allongés, et apprenait. Il devint confesseur auprès de multiples familles nobles qui se confessaient auprès de nobles. Les conseillant aussi. Il découvrit le conseil, à manier une fois que l'on connaissait bien sa victime. Et là, on utilisait ses torts, ses vices comme ses vertus. Sa voix doucereuse et profonde rassurant ses pénitents, qui l'écoutaient avec candeur ; comme si les Saintes Ecritures s'incarnaient devant eux. Il est difficile de se figurer la capacité de contrôle qu’un esprit insidieux peut exercer. Seule l’intimité des confessionnaux l’intéressait. Il est inutile de rappeler que la modestie de sa condition ne plut pas à sa famille.

Rapidement le P. de Metternich gagna, via un pénitent, la confiance d'un des ministres du nouveau Roi : Hygnus, à la joie générale, trépassa, assassiné par quelques bandits du Sud. Ce qui n’attrista pas tout le monde. Oviedo XVII serait moins faible que son prédécesseur,. A partir de ce jour-là, on traita avec mépris et cruauté les populations des déserts du Sud, opprimées par la haine générale. Metternich fut surpris de voir à quel point la vengeance était alléchante. Quelle que soit l'occasion : il n’y vit qu’une nouvelle corruption de l’Argent (qu’on se figure les immenses profits des entreprises d’armement à l’annonce de nouvelles campagnes de sécurisation !). L'Eglise parla de croisade et d'hérésie, alors que dans le Credo, le Seigneur demandait la concorde. Ceci le conforta dans l'utilisation évidente que faisaient les prêtres de la Foi. Son frère aîné, engagé dans l’armée, se perdit en inanité, et fut affecté en région lointaine ; sa mère en mourut, Maximilian en ricana.

De confesseur, il passa à Pénitencier, le grade supérieur, dans la Basilique-capitale, par la grâce du bienveillant duc de Koon, ministre de sa Majesté (dont il avait gagné la confiance, comme nous le disions). Oviedo XVII était un esprit dur, déterminé, intelligent. Et il entendait être respecté. Par son office dans la basilique principale de la planète, il devenait serviteur du Roi. Sa silhouette sombre hanta les couloirs du Palais-royal. C'est donc avec déférence qu'il offrit ses services, (grâce à Koon), au monarque, sachant bien que celui-ci avait besoin d'hommes dévoués. En effet, ceux qu'on appelait les Grands, cette étrange compagnie de grands aristocrates, propriétaires terriens, composant la Chambre des Pairs sensé gardée la loi, avait connu, durant le précédant règne, le goût de l’indépendance. Mais celui que l'on appelait le Terrible, ne l'entendait pas ainsi. Et il envoya en ses pairies des émissaires rabattre l'orgueil de ces oligarques impétueux. Première épreuve.

Le Pouvoir

Le P. de Metternich fut envoyé dans la Pairie de Guimsk, où deux Pairs étaient en guerre. L’un, cardinal palatin, de la Sainte-Eglise, était un vieillard s’abandonnant aux plaisirs de sa Cour et de la représentation (peu orthodoxe) ; l’autre, un « patron », malin mais impatient. Le Patron et le Cardinal se disputait quelques terres exploitables par les Pairies, on était sur Bonadan ; on se faisait la guerre pour peu. L’affaire était entendue : le Cardinal devait disparaître. Le P. de Metternich prit ses dispositions, soudoyant les serviteurs des deux Pairs, fit alors croire au Cardinal que le Roi pencherait à sa faveur, l’enjoignant de signer au plus vite un accord qui aurait valeur de moratoire. Même promesse à l’autre Pair. La guerre s’acheva, les armées furent démobilisées : cela laissa le champ libre au P. de Metternich, qui, par quelques agents du Roi, organisa une cabale contre le Cardinal. On découvrit des preuves de concussion ; les tribunaux furent ravis de condamner ce tyran. On s’assura de la fidélité de son successeur. Metternich y gagna la prélature, on le fit Evêque pénitencier, prélat inférieur qui confessait la Famille Royale. A sa soutane noire, s'ajoutèrent les boutons et l'écharpe violacées épiscopales.

En tant que pénitencier, il scrutait les plus hautes âmes de cet Etat. Il découvrit ce qu'était le long labeur pour l'ordre public. Il y avait les pieux, qui n'aspiraient qu'au repentir, effrayés parfois par la dureté des actes obligés, préférant oublier. Tous avaient la propension à croire au Mal nécessaire, tous croyaient pouvoir justifier leurs actes face à l’Absolu. Ce besoin, à la fois existentiel et eschatologique, était surprenant dans ces plus hautes sphères. D'autres, plus inflexibles, ne voyaient que la Raison d'Etat, incroyable montre qui réglait l’univers et à laquelle on devait se plier, et qui remporta un certain succès auprès de Mgr de Metternich, qui y trouvait une cause naturelle d’absoudre ses pénitents.

Le nouvel évêque se consacra pendant dix ans à la diplomatie, pour échapper au poids de l’âge et de la solitude. Son cadet étant lui frappé de pathologies bien plus graves qui l'enfermaient dans un état végétatif déplorable. Quel déchirement de voir cet esprit alerte enfermé dans ce corps dégénéré. Pourtant, il avait le pouvoir, cet esclavage subtil. Comment décrire ce plaisir malsain à voir le Pair-Cardinal exilé, après sa résistance, dans des terres où il ne tarda pas à mourir. Sous couvert de la religion, il s’attacha à défendre son royaume, ambassadeur de l’Eglise dans les délégations, puis ambassadeur du Roi. Il participa à de nombreuses négociations avec les planètes du secteur corporatif, dans les ballets d’un milieu qu’il finit par bien connaître. L’art du langage diplomatique, du pléonasme, de la formule, de l’usage utile de la Foi et des citations des saintes écritures, furent comme une seconde nature.
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Message  Palpatoine Sam 14 Mar - 22:56

L’Exil

Puis, vint Oviedo XVIII, bien connu pour ses actions entreprenantes sur Utapau par exemple, que la République vint secourir. Ce qui finit par le meurtre du Roi, tout cela, nous le savons. Durant tout ce temps, il se fit nommer ambassadeur royal auprès de quelques pays lointains, puis sur Corellia. Il n’oublia pas la soutane. Il s’éloigna du pouvoir dangereux de Jerebeat, qui, à l’exemple d’Oviedo XVIII, finit mal. Il regarda avec impuissance son Royaume s’épuiser, et céder face à la République. Un autre roi faible lui succéda, la Sainte Terre, éreintée, s’éloignait progressivement, à mesure que ses contacts étaient écartés du pouvoir. Il ne fut pas reconduit comme ambassadeur, restant simple évêque, et s’engagea dans les tristes services diplomatiques de Coronet (représenter cette commune pourtant agréable, après le Royaume des Apôtres !). Il crut beaucoup dans la création de la Confédération. Il n’avait rien de haineux contre la République, sauf en public et par principe, mais préférait ce système aux structures plus familières. Mais, loin de sa terre natale, il dépérissait, et le Monastère de sa congrégation fut un rare refuge. La séparation fut une véritable déchirure.

Description physique:

Le sourire souvent aux lèvres, le geste élégant, le pas majestueux, le cardinal de Metternich a le physique typique de ce courtisan qu’on se figure parmi les figures fardées et les perruques. Une chevelure argentée soigneusement coiffée, des sourcils noirs broussailleux. Des membres arachnéens, qui donne encore plus de grâce à son mouvement, et de longs doigts fins. Le visage est ridé, pâle et souvent fatigué, avec les joues creuses. Il semble vingt ans de plus. Un aspect vaguement squelettique, voir maladif, mais toujours élégant dans un long vêtement teinté de rouge religieux, ou un costume sombre et bien taillé. Chaque détail semble recherché, de la couleur du nœud papillon aux formes des boutons de manchettes.

Derrière ces fards, un froid absolu, un comportement glacial quand il n’a plus à paraître (le différent entre paraître et être est particulièrement aigu chez cet individu). Le comportement est recherché, très gracieux, aux manières parfois plaisantes mais affectées.

Description psychique:

Maximilian de Metternich présente sans doute les faces habituelles d’un prélat. On peut citer une certaine élégance d’esprit, de raffinement, parfois un peu compassé. Une tentation vers le subtil, le fin, le déguisé. Mais aussi une propension à la plus profonde désuétude, l’attachement aux vieilleries, comme le papier (le fonctionnement des appareils électroniques lui échappent). L’esprit convenu, très protocolaire, aux apparences normées, à la politesse et la froideur exquises. Il adapte son attitude en permanence, en fonction de ses interlocuteurs et des systèmes. De la République démocratique de Corellia au Royaume de Bonadan, il s’attache à plaire.

Le cardinal de Metternich est également un être aux obsessions complètement malsaines, fou du détail, et plus précisément d’une « curiosité » (encore que l’expression semble impropre) envers les autres. Ce n’est pas tant la vie des autres en tant que telle qui est intéressante, mais plutôt l’inquisition, l’action de fouiller parmi les moindres recoins, de comprendre l’âme humaine dans sa grande complexité, d’en découvrir les vices cachés. Cette attitude prend des atours comiques (comme le fait de noter tout dans un carnet) ou inquiétants (le profond plaisir que procure l’exploitation directe de ces vices).

Le prélat se love avec grâce dans toutes les niches du pouvoir, du protocole, du grandiloquent – car il aime cela, . Dès lors, la connaissance des autres devient une force, utilisée sans scrupule, avec cynisme dirons-nous, pour parvenir à ses fins. A cette connaissance s’ajoute un art éculé de la dissimulation : moins les autres en savent, mieux on se porte. Il n’aime ni la lumière, et n’a aucun désir de reconnaissance ; seul le plaisir personnel compte. La lumière constitue le danger : les intermédiaires, l’ombre, la sécurité.

Le Cardinal est un homme sans conviction : il rejette avec une sorte d’aversion curieuse et héritée le pouvoir corrupteur de l’Argent, une donnée qu’il répugne à utiliser tant cet aliénation sent le soufre. Il y voit la trace immédiate du Mal, la corruption par les plaisirs matériels (si loin de ceux de l’esprit !). Au fond, il déteste sans doute la société hiérarchisée selon ces critères, mais s’y trouve bien et il est peu probable que ce soit autre chose qu’une conscience lointaine. D’ailleurs, comme on s’en doute, ces convictions tranchant avec le personnage, elles ne sont jamais exprimées. En revanche, s’y ajoute une profonde croyance dans l’Etat et sa mission, son pouvoir étant jugé quasiment infini, car seule autorité légitime. Le servir est la chose la plus noble qui soit donné d’être, et qui comble, finalement, la vacuité abyssale d’un esprit occupé par ses jeux plutôt que par des convictions restées trop lointaines.
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Message  Palpatoine Dim 9 Aoû - 13:41

Transition :

Le Ministère naboo


La Constitution nouvelle marquait la fin d’une époque, et l’ouverture d’un nouvel horizon. La monarchie millénaire prenait les atours d’un parlementarisme actif. Les deux chambres avaient pris place dans le palais d’Eidolon. Le cardinal de Metternich comme le monde politique naboo se fit rapidement à ce nouvel univers. Déployant ses jeux divers propres à tout politicien, la majorité du Congrès devant leur être acquis, il garda à l’esprit l’ardente nécessité de parachever, pendant ces dernières semaines de mandat, la forme de l’Etat qu’il avait commencé à construire, afin que son édifice résistât à l’injure du temps.

Dans une ombre qu’il tenait à entretenir, il manoeuvrait, soumettant plusieurs projets de loi au Parlement, via ministres et conseillers. Le Ministère constata tout d’abord une différence d’esprit entre les ministres et les secrétaires généraux, ces derniers étant plus politiques, car soumis au couperet des chambres. Soucieux de ce dysfonctionnement qui, à terme, pourrait mettre à bas l’édifice général, le cardinal de Metternich songea à proposer une Loi, qui, mêlant les deux pouvoirs, les lierait à une élite technique. On vota la Loi des Conseils*, qui organisait l’Exécutif dans ces organes exécutifs pluralistes après débats de procédure. On prendrait décisions, entre les différents pouvoirs, dans ces conseils exécutifs qui traitaient chacun d’un domaine. Il fallait cependant y adjoindre une expertise technique : c’était le chantier général du Ministère, tous s’y attelaient : car en découleraient de nombreuses réformes. Le Palais de Theed avait été gouverné par les artistes, les hommes savants et les idéalistes, et ne convenaient pas au nouveau modèle d’un Etat efficace.

Il fallait constituer un Corps administratif qui formerait les personnes compétentes. Les Députés, venant de la Fonction Publique apprécieraient d’avantage que la Chambre des Pairs, le monde de la culture. A force de conciliation, on créa bientôt cette Ecole*, qui fusionnait plusieurs universités, y ajoutait des compétences pour en créer une nouvelle. Bientôt, l’Ecole du Corps Administratif fut instituée dans l’Université d’Harte Secur, et la Chambre des Requêtes (organisme chapeautant l’administration qui en découlait) s’installa dans l’hôtel Mirkovig de Theed, sous la direction du Premier ministre et du Roi. D’anciens hauts fonctionnaires y côtoyaient de jeunes recrues.

L’esprit de la planète résidait dans le savoir, la culture, les arts, tout ce qui en tout autre pays est édifiant mais secondaire. Le Cardinal reconnut cette nécessité, et s’y plia. Il entendait ainsi réformer les Académies comme il avait réformé l’Administration. De nombreux entretien se déroulèrent entre Metternich, le Ministre de la Culture et divers personnalités des Académies. M. Beckett, de l’Académie d’Histoire, se plaisait à discuter de la théologie et du modèle bonadien avec le Cardinal ; ce dernier fréquentait les salons du Quartier de l’Université. Ainsi, à côté de cet aspect technocratique nouveau, le Premier ministre, en collaboration avec le Ministre de la Culture, développa et réorganisa les Académies et autres corps culturels, en intégrant ces fonctionnaires aux grands noms de la Culture naboo : il espérait concilier tradition et nouveauté. On mêlerait nouveaux fonctionnaires et anciens dignitaires, pour élargir les compétences de ce nouveau système : l’Institut de Naboo, édifice sur lequel l’Etat pourrait s’appuyer.

On présenta une Loi*, et bientôt les Académies devinrent à la foi l’instrument de la diffusion culturelle naboo mais aussi d’organes consultatifs (avec les conseillers d’Harte Secur). Ce fut un étrange moment que la réunion de savants et d’exécutants, mais ils se mirent au travail sous l’impulsion de l’Etat, dans les dômes somptueux du Quartier de l’Université, devenu Quartier de l’Institut. Le Ministère fut soucieux de régler les sensibilités, de choisir avec soin les différents dirigeants, et particulièrement le Secrétaire royal de l’Institut.

Le cardinal de Metternich s’employa dans un même temps à déployer un réseau diplomatique actif. Libéré de l’Union Galactique, le Royaume de Naboo put nommer les ambassadeurs du Roi sur quelques centres vitaux de la République (ambassadeurs dont le Cardinal surveilla la nomination et les premières activités). Le Premier ministre (qui conservait le portefeuille des affaires étrangères) lia tout d’abord des relations actives avec la Royauté d’Alderaan, l’Administration de Bespin, le Consulat de Kuat, mais aussi avec la République de Corellia, et toutes les anciennes planètes confédérales (Talus & Tralus Commenor, Carida, Duro – toutes sauf les traîtres Manaan et Sacorria) afin que le Royaume de Naboo, c’était son dessein, puisse se placer en médiateur entre une Union Corellienne naissante et la République Galactique, avec discrétion mais intensité. Ce travail sera repris à l’identique dans un centre bien plus grand ; dans celui de la République galactique.

Il profita ainsi du Jour de la Réintégration**, grande fête populaire qui accueillait le Chancelier pour ratifier des actes d’Intégration. Il avait entretenu des bonnes relations avec cet illustre personnage, de Nubia à Coruscant. Il comptait placer sa carte dans ce moment majeur : il proposa implicitement ses services au Chancelier ; possibilité qu’il avait déjà autrefois introduite lors de ses précédents entretiens. Il saisit également l’occasion de placer le nom d’Ellion Kayerd, un ami à qui il convenait de rendre la pareille, car il savait que le Roi de Naboo comptait revenir à des passions militaires.

La délégation diplomatique au Sénat


M. de Metternich, au lendemain de la journée de la réintégration, le 28 avril, était désormais résolu. Le Chancelier l’avait assuré dans ses éventualités, et il avait bon espoir d’intégrer les cercles diplomatiques républicains. Il considérait avoir suffisamment travaillé sur Naboo à l’élaboration du système démocratique pour que son œuvre fût complète. Ellion Kayerd ayant choisi de ne pas se représenter, un deuxième mandat au Ministère royal ne semblait ni envisageable ni profitable à la bonne conduite de ses intérêts. Il ne restait plus qu’à trouver un nouveau siège où s’installer, dans l’ombre d’un puissant. Les élections se déroulèrent dans un cadre de vitalité démocratique certain. Des différents candidats, aucun de sérieux ne réclama un retour à une union fantasque. Une reine fut élue : Elizabeth Bestryn. Une femme calme et cultivée, d’un certain âge, sans grande volonté agitatrice : en somme, un chef d’Etat Naboo comme on les voyait si souvent sous la République galactique. Le cardinal de Metternich fut avant tout satisfait de voir son attachement aux traditions et aux nouvelles institutions ; il connaissait par ailleurs cette personnalité résignée mais parfois attentiste. Ainsi, il ne comptait pas perdre tout soutien sur Naboo. Déjà Pair de Naboo donc parlementaire, il ne comptait pas se satisfaire de ce siège.

La cérémonie de passation de pouvoir fut solennelle mais chaleureuse (enfin un Roi vivant trouvait sa succession). En présence de tous les grands dignitaires, passés et futurs, la Garde passa de cet homme en blanc à cette vieille femme distinguée aux rubans compliqués assemblés en coiffe. Le lendemain, ce fut au Premier ministre d’aller remettre sa démission. Dans son costume noir civil (une petite croix au revers de sa veste), il se glissa à nouveau dans ces bureaux qu’il connaissait bien. La Reine et son sourire tranquille l’accueillit avec bienveillance ; le Cardinal présenta alors un bref tableau de la politique diplomatique, et se déclara « disponible », énumérant des enjeux dont « seule une personnalité instruite par les récents changements sauraient percevoir ». Mme Bestryn était quelqu’un de subtil, et qui aimait les subtilités. La Reine se promit à réfléchir, il fut nommé Sénateur. Il organisa la délégation avec les gungans, qu’il tenterait de ne pas rendre trop envahissant.
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Message  Palpatoine Dim 9 Aoû - 13:41

L’ambassade générale de la République


Maximilian de Metternich fut accueilli sur Coruscant en la double qualité de Sénateur, et de membre de l’Office de la Chancellerie dès le 4 mai de l’an 25. Après les actes d’Intégration enregistrés par le Sénat Galactique, Metternich avait reçu la qualité « d’ambassadeur de la République », puis de chef du Corps diplomatique et de facto membre du Gouvernement ; après que le décret proposé au Chancelier fût publié*. Sous son conseil, le Chancelier sollicita les services d’Ellion Kayerd destiné à devenir Ministre de la Défense. La reconversion était, d’une certaine façon, réussie.

Diplomate rompu de Bonadan pendant des années, il connaissait bien la capitale, et, parfois, ses quelques cercles d’influence, mais point le Sénat Galactique : ce fut pour lui une étonnante découverte. Cette planète vorace, ses tours, ses démesures, lui rappela Bonadan. C’est avec une certaine émotion que le Sénateur parcourait les allées entre les gratte-ciels dans son taxi. Il affecta dès le départ avec les collaborateurs qui étaient là avant lui une attitude humble, discrète, sinon effacée devant les médias et les obédiences non politiques de la Capitale. Le Cardinal se renseigna sur la plupart des collaborateurs du Chancelier, qui, en conformité avec la figure imposante du maître, n’étaient ni envahissants, ni entreprenants, il s’effaça devant les figures plus anciennes que lui, comme le Vice-chancelier. Il demeura soucieux dans le choix et impérieux dans le suivi des différents ambassadeurs. Les premiers rapports furent satisfaisants.

Certains gouvernements se montraient réticents, considérant ces Commissaires comme des espions, mais on leur avait inculqué la prudence, et leur rôle fut plus utile que prévu, facilitant les procédures, évitant de tout faire remonter à Coruscant pour la moindre affaire. Il multiplia les entretiens avec les nouveaux diplomates, réglant les problèmes, tout en référant au Chancelier, qu’il croyait légitimement jaloux de ses prérogatives. Sa première initiative fut, en accord avec Nomos, de soutenir l’Union Corellienne. La République espérait ainsi non seulement isoler les planètes régicides, mais également entretenir de bonnes relations en apportant un regard bienveillant sur une Union géographique de planète, Union qui pourrait s’avérer central. Il députa ainsi un débonnaire ambassadeur sur Corellia (M. Jinzhou) qui relayerait le message de la République, dont la synthèse était contenue dans le message suivant :

Lettre au Président de la République de Corellia

Chancellerie Suprême
Ambassade générale de la République
Secrétariat d’Etat chargé de la Diplomatie



République démocratique de Corellia
Services de la Présidence
A Son Excellence M. le Président de Corellia


Coruscant, le 30 mai de l’an 25


Monsieur le Président,

En premier lieu, je me permets de vous adresser au nom du Chancelier et de la République, mes félicitations les plus sincères pour votre élection et le début de votre mandat, qui, assurément, inaugure une ère nouvelle pour Corellia. Nous ne pouvons que la saluer, et appeler de nos vœux son renouveau, sous votre impulsion.

Votre présidence, je le disais, apporte un souffle vital et nécessaire à la démocratie corellienne. Après un procès équitable, reconnu comme juste, souhaité par la confédération, et la République, Gilad Castle a été jugé, et l’avenir est donc serein. Dans ce contexte, nous souhaitons réaffirmer avec conviction et sincérité notre attachement à l’amitié et à la concorde qui rassemblent nos deux nations.

La République Galactique et la République Corellienne sont unies par l’Histoire. Membre fondateur de notre Union, l’immense estime pour votre planète demeure dans le cœur et dans l’esprit des républicains. Votre planète a participé à la lente mais sûre construction de l’édifice républicain, voix entendue lors des débats, membre actif des institutions, contributeur essentiel et central de notre économie et de notre diplomatie. Cela, nul ne saurait l’oublier, sur Coronet ou sur Coruscant.

Dans la marche du Temps, monsieur le président, nous ne pourrions nous satisfaire de ne contempler que ce passé. Il en existe un plus proche, non moins fondamental. Sans la juger, nous avons déploré votre sécession, difficile séparation après des années communes de partage. Cependant, soutenu par les voix populaires, nous avons respecté ce choix en bonne forme avec notre loi. Si le comportement du Roi a parfois outragé, celui du peuple demeurait respectable. Malheureusement, de durs épisodes ont marqué votre Histoire, et votre regard sur le Roi Jerebeat et ses frasques semble aujourd’hui aussi sévère que le nôtre. Le cas de Gilad Castle nous a malheureusement inquiété dans la conduite de la politique diplomatique mutuelle ; par une attitude parfois dangereuse, que votre peuple a également sanctionnée. Mais aujourd’hui semble être venu l’apaisement, comme Naboo nous l’a rappelé.

Que faire maintenant, monsieur le président ? La République reconnaît au peuple corellien ses stigmates, et, loin de s’en réjouir, ne lui souhaite qu’un destin meilleur, au nom de notre amitié mutuelle. Cette amitié, nous l’espérons toujours vive et existante dans le cœur des corelliens, malgré les fractures ; comme dans celui des républicains. En respectant votre choix, nous espérons que cette amitié puisse être préservée, et que nos rapports deviennent ceux de puissances amies.

Nous voyons ainsi dans la création d’une Union Corellienne le meilleur moyen d’assurer la paix galactique, que nous souhaitons célébrer. En effet, elle permet de cultiver une union territoriale, fondée sur la paix et la concorde des peuples. Dans cet objectif que nous défendons avant tout, la République soutient avec vivacité et conviction la création de cette union. Sa formation donnera ainsi lieu au départ d’obédiences malveillantes, qui poussèrent Naboo à quitter la Confédération. Celle-ci peut donc connaître dans sa transformation en Union Corellienne, le meilleur aboutissant pour ce passé, et pour la paix commune.

Dans ce cadre de renouveau diplomatique, le Chancelier suprême souhaitait vous adresser ses vœux d’amitié et de concorde entre nos deux peuples. Ainsi, pour marquer un renouveau que nous appelons de nos vœux dans nos relations, afin de favoriser votre reconstruction économique, la République propose de nouveaux échanges, symboliques et plus concrets. J’aurais grand plaisir à discuter plus avant avec Votre Excellence, sur la conclusion d’accords forts entre nos deux systèmes.

En attendant, et en espérant voir notre collaboration prospérer, veuillez agréer, monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération, et de mes sentiments les meilleurs.


Pour la Chancellerie de la République
Le Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères,
Ambassadeur général de la République

signé : METTERNICH


Le Secrétaire d’Etat participa, une nuit, à une réunion du Conseil des Ministres. Cette réunion exceptionnelle d avait été convoquée après la connaissance de la capture de la délégation sénatoriale envoyée sur le secteur Elrood pour vérifier les propos du Techno-Syndicat. Cette crise étant une première épreuve pour la diplomatie républicaine. Le Secrétaire d’Etat chargé des affaires étrangères ne souhaitant pas une diplomatie attentiste, privilégia l’intimidation, confiant dans les faiblesses de la personnalité des neïmoidiens.

Le lendemain, au Sénat, le cardinal de Metternich s’effaça derrière l’autorité naturelle du Vice-chancelier, qui présenta naturellement la politique du gouvernement. En retrait dans sa tribune, une main soignée raccommodant son nœud papillon noir, le Secrétaire d’Etat observait d’un œil curieux cette assemblée, ces délégués graves pour la circonstance. Il s’exprimerait pour l’une des premières fois devant cette enceinte suprême. Le chemin avait été long depuis les antichambres du Palais-Royal de Bonadan … la pensée de sa planète était toujours présente, obsédant souvenir, qui faisait sa vie et ses principes. Il en était si loin, il n’y avait que cette foi, ces prières, petite flamme vivace. Sur Bonadan, en tant que membre du gouvernement de la plus grande organisation intergalactique, il aurait pourtant préséance sur le Patriarche … il voyait peu de moyens de se rapprocher. Quel dommage, ce qui était devenu possible sur Naboo n’aurait pu se produire sur Bonadan. Là-bas, un fils de marquis de province ne devient pas chef de gouvernement. La pensée de la trahison l’avait habitée quelques instants, il rejoignait un système régicide. Enfin, les temps ont changé, sur Bonadan aussi il s’est écoulé du temps, les courriers de ses amis se faisaient moins alarmistes sur une aigreur pourtant lancinante. Le Cardinal savait qu’elle demeurerait comme une barrière infranchissable.

L’ambassadeur général intervint, répondant aux questions, avec un ton humble et déférent devant ces délégués qui aimaient voir reconnue leur puissance, tentant de rester fidèle au discours du Chancelier, notant par contre avec une attention toute particulière les positions des différents sénateurs, qu’il ne manquerait pas de noter dans ses carnets.


* : les projets de Loi sont disponibles, et seront postés à la réouverture.
** : la Journée de la Réintégration fera l’objet d’un poste plus détaillé avec Nomos et tout PJ concerné.
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