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Eduardo Ruggieri

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Eduardo Ruggieri Empty Eduardo Ruggieri

Message  Eduardo Ruggieri Sam 18 Juil - 15:46

FORMULAIRE d'Eduardo Ruggieri


Informations générales :

XP : 0
Niveau : 1

Argent emporté : 0
Argent en banque : 0

Avertos : 0

Métier : Député au Parlement corellien sous les couleurs du P.P.C.
Talent 1 : Leader né
Talent 2 : Barratin

Objets possédés : /

Formations effectuées : /


Statistiques :

Caractéristiques :

PUI: 10
CON: 10
RAP: 10
DEX: 10
INT: 10
DIS: 12
PER: 18
CHA: 18


Bonus Compétences :

Armes Blanches : 0
Armes de Tir : 5
Médecine: 0
Discrétion : 0
Vol : 0
Mécanique : 0
Pilotage : 0
Sciences/Informatique : 0
Commerce : 0
Athlétisme : 0
Agilité : 0
Rhétorique : 20
Stratégie : 15
Esquive : 0
Combat à Mains Nues :
Vigilance : 5
Natation : 0
Langues : 0
Biologie et Chimie : 0
Intimidation : 5


Background :


Nombre de Points bonus obtenus pour votre Bg : 8

Race : Humain. Natif de Corellia.

Histoire :

Corellia est une planète qui a vu naître les personnages les plus hauts en couleur de la galaxie. C'est en tout cas que ce que ses habitants se plaisent à dire. Eduardo Ruggieri ne déroge pour ainsi dire pas à la règle.

Son histoire commence à Duurvan, une belle petite ville s'étageant sur une colline qui domine une plaine magnifique. On est à moins de cinquante lieux de Coronet, avec les détours de la route. C'est donc dans cette petite ville que vint au monde, le premier enfant d'Osbaldo Ruggieri di Zannieri, riche marchands de draps et d'étoffes et de son épouse, Dame Pica.

Dans une cité comme Duurvan, la nouvelle se répandit rapidement. Il faut dire que le sieur Osbaldo Ruggieri était une figure locale. Grand négociant d'étoffes, il avait fait fortune en rendant indispensable à la haute-bourgeoisie de Corellia les produits confectionnés dans les ateliers textiles traditionnels de Duurvan.
Symbole de la réussite et du dynamisme retrouvée de la région, il s'était ensuite lancé dans une carrière politique aussi longue que mouvementée. Elu tout d'abord, à une écrasante majorité, Maire de Duurvan par ses concitoyens reconnaissant de ses réalisations commerciales, il entra ensuite au Parlement corellien en prenant le siège de député occupé depuis près d'un demi-siècle par une grande famille de la noblesse locale.
S'illustrant ensuite lors des séances du Parlement, par ses réquisitoires aux accents populistes et sa fougue, il devint la coqueluche des journaux populaires. Ennemi des non-dits, de la corruption, des groupes de pression et des ententes politiques secrètes, il s'attira la sympathie des classes populaires et des anti-parlementaires corelliens. Ces derniers voyait dans la personnalité effarouchée du député de Duurvan, ses violentes sorties lors des débats parlementaires, le symbole d'une politique moins figée par les codes de bienséance et le respect du "politiquement correct".

Parallèlement à ce phénomène de popularité croissante, le jeune Eduardo Ruggieri suivit une scolarité moyenne dans les collèges de Duurvan puis les pensionnats religieux de Tyrena, la ville côtière la plus proche après Coronet. D'ailleurs plus dans la moyenne que moyenne. Si il ne brillait pas spécialement par ses résultats scolaires, le jeune rejeton d'Osbaldo se fit néanmoins remarquer par ses dons d'orateur déjà prononcés. Tenant tête à ses professeurs, il se forgea ainsi un caractère emporté et un talent de leader s'affirmant de jour en jour. Comme la fois, où, critiquant le discours de leur professeur d'Economie quant aux causes de la délocalisation des industries corelliennes, il se fit lever la classe toute entière pour chasser le brave maître de la salle.
Renvoyé pou un tel comportement, il n'empêche que l'anecdote permit à beaucoup de considérer le fils Ruggieri comme le digne héritier de son père, tant sur le plan caractériel que politique.

Lorsqu'il en eut fini avec le Lycée classique de Coronet, institution reconnue de la Capitale planétaire, il choisit de se destiner à des études de Droit. Le Recteur de la prestigieuse Faculté de Droit de Coronet, grand ami du député Ruggieri, l'accueillit à bras ouverts dans son établissement qui formait les meilleurs juristes de tout Corellia.
Bien qu'assez bon élève, Eduardo Ruggieri se fit là encore, plus remarquer par son adhésion aux syndicats étudiants et ses prestations au sein des cercles de discussions politiques. C'est d'ailleurs à cette époque que la plupart de ses conceptions politiques s'affirmèrent. Le jeune homme se distinguait particulièrement par sa vindicte nationaliste et ses revendications révolutionnaires.
Et malgré les remontrances du vieux Recteur, qui n'osa cependant rien faire de peur de froisser le célèbrissime Osbaldo Ruggieri, réélu député et nommé Président du groupe parlementaire du Parti Conservateur Corellien, l'étudiant qu'était Eduardo ne s'assagit pas.
Ou bien très peu.
Rassemblant autour de lui quelques amis, il créa la Ligue Nationale Corellienne. Organisation aux accents extrêmistes et se déclarant ouvertement nationaliste, elle se distingua très vite par une croissance rapide et une violence assumée. Rassemblant près de deux mille adhérents un an seulement après sa fondation, ses actions coups de poing visant les sièges des partis sociaux-démocrates, les associations progressistes ou les communautés aliens étaient aussi craintes qu'inquiétantes.
Attaqué au Parlement corellien à propos du comportement de son seul et unique fils, Osbaldo Ruggieri répliqua au député l'incriminant qu'il fallait bien que jeunesse se passe. Sans oublier de préciser que son fils ne participait aucunement à ces actions, se contentant de gérer l'aspect financier et exécutif de la Ligue.

En effet, le jeune Eduardo Ruggieri qui, entre temps, avait obtenu son diplôme de la Faculté de Droit de Coronet et sa chaire d'avocat au Barreau de la Capitale, avait pris soin de ne pas se mouiller outre-mesure, dans les activités de la Ligue qu'il avait fondé.
Occupant officiellement le siège de Secrétaire-général de l'organisation nationaliste, il ordonnait en sous-main les actions de violence, les désolant devant les médias corelliens.
Ainsi, il restait légitime aux yeux de ses partisans les plus chauds, tout en ne sortant jamais de sa réserve et du cadre légal des fonctions qu'il occupait au Barreau de Coronet. Pour autant, bon nombre de ses hommes de main furent arrêtés, emprisonnés et condamnés à de lourdes peines. Et des fuites l'incriminèrent dans bon nombre d'affaires suspectes.
Aussi, la Ligue Nationale Corellienne fut dissoute par un matin d'automne, lors d'une perquisition au siège de l'organisation. Coup dur pour Eduardo Ruggieri qui se retrouva séparé de masses qu'il avait conquis et de tout appui militant pour poursuivre son combat politique.
Se contentant dès lors de ne défendre que ses clients lors des séances du Tribunal de grande instance de Coronet, il se fit peu à peu oublier.

Mais la mort de son père, en pleine gloire et alors que son parti Conservateur concurrençait de près ses adversaires dans les sondages, raviva en lui la flamme qui s'était atténuée depuis quelques mois. L'arrêt cardiaque d'Osbaldo Ruggieri, présenté comme l'un des grands favoris - à la surprise générale - des prochaines élections, mettait en effet fin à l'émergence progressive du parti qu'il avait crée.
Tout ce qu'il avait défendu jusque-là retomberait peu à peu dans l'oubli.
Et les luttes fratricides qui opposèrent les collaborateurs d'Osbaldo Ruggieri ne firent qu'accélérer la désagrégation déjà entamée du Parti Conservateur Corellien, pourtant promis à un avenir radieux quelques semaines plus tôt.
Les espoirs passés du clan Ruggieri étaient ruinés...

Portant le deuil durant de longs mois, Eduardo assista impuissant à cette descente aux enfers. Le nom qu'il portait était désormais moqué par des opposants trop rassurés de voir disparaître une telle menace.
Isolé, il médita longuement, gardant un oeil désinteressé sur les affaires florissantes de son cabinet d'avocat qu'il partageait avec un vieil ami de la Faculté. Abandonné par les anciens soutiens de son feu père, il prépara sa vengeance.

Aussi, quelle ne fut pas la surprise de la classe politique corellienne, lorsque, trois ans plus tard, à l'occasion de l'anniversaire de la mort d'Osbaldo Ruggieri, fut fondé le Parti National Corellien, digne héritier des ligueurs corelliens et de l'aile dur du feu Parti Conservateur Corellien. Très vite, cette nouvelle force réussit à s'implanter durablement dans les anciens bastions encore marqués par l'élan politique insufflé par le flamboyant député soudainement disparu.
Et si le nom d'Osbaldo était sur toutes les lèvres, c'est son fils, Eduardo, qui entra au Parlement corellien à l'âge de 28 ans, devenant ainsi le plus jeune membre de l'honorable hémicycle. Reprenant avec verve le rôle qu'était autrefois celui de son père, il s'imposa rapidement comme l'un des ténors de l'Assemblée, en se faisant le diseur de vérité, critiquant ses pairs avec trop d'aisance et de connaissance pour être contesté.

Mais face au danger politique que représentait le jeune orateur, certains s'agitèrent.
Présenté comme un dangereux conspirateur et un révolutionnaire anti-parlementaire, on l'accusa de ressusciter la Ligue Nationale Correlienne et de rétablir ses penchants violents.
Chose qui n'était il est vrai, pas totalement exagéré, si l'on évoquait la création d'un service d'ordre aux allures d'organisation paramilitaire, au sein du Parti nouvellement crée.
Qui plus est, le fait que Ruggieri, en affichant des thèses extrémistes et originales, qu'il assumait avec tellement d'outrance qu'elles en devenaient une sorte défi lancé aux autorités morales d'un système politique souvent contesté, réussit à séduire l'électorat populaire des banlieus ouvrières des villes correliennes fit gronder l'appareil du Parti de l'Aurore.
Concurrencé par le nouveau-venu dans leurs propres bastions, les gens de l'Aurore mirent tout en oeuvre pour interdire le Parti National Corellien. La chose fut facilité par le comportement de la Garde Pourpre, le service d'ordre à l'écoute de Ruggieri, qui dispersa violemment une manifestation pro-républicaine lors de la fête planétaire corellienne.
Mais Ruggieri, lors d'une entrevue avec son Oncle, Baltimo Ruggieri, avait laissé sous-entendre les conséquences d'une éventuelle interdiction :

"Cette fois, si ils décident de nous dissoudre, nous leur donnerons nous même de bonnes raisons pour l'avoir fait. Ils se délecteront de notre fin en pansant leurs propres plaies..."
Bien que mystérieux, l'avertissement n'en restait pas moins l'ombre d'un mauvais présage.

Mauvais présage qui se vérifia.
Les politiciens de mauvaise fréquentation tiennent toujours leurs promesses...
Lorsque le Parti National Corellien fut dissous, par arrêté du Tribunal de grande instance de Coronet et ce malgré la plaidoirie déchaînée de Ruggieri, la tension atteignit son sommet. Tout le monde savait le rôle du Parti de l'Aurore dans cette décision judiciaire et la haine des "Nationaux" ne fit que grandir jour après jour.
Jusqu'à la fête de l'Aurore, grand rassemblement politique et philosophique organisé chaque année, dans la banlieu de Coronet, pour fêter la création du Parti de l'Aurore. Ce jour, presque trois mille ex-membres de la Garde Pourpre et autres sympathisants aux mêmes penchants débarquèrent par speeder entiers, détruisant tout sur leur passage.
Au soir de ce jour noir, et alors que l'événement était rediffusé en grande pompe sur tous les canaux holonet de la planète et jusque dans les autres systèmes de la galaxie, on pouvait dénombrer plusieurs milliers de blessés, autant d'arrestations tandis que les dégâts se chiffraient pour leur part, à plusieurs centaines de milliers de dataries.
Ce fut un choc profond pour beaucoup de corelliens. Mais lorsque le visage boursoufflé d'un cacique du Parti de l'Aurore apparu aux écrans, celui-la même qui avait annoncé quelques mois auparavant la nécessité de dissoudre le Parti National Corellien, beaucoup comprirent. Aucun ne put prouver.
Seul l'Oncle Baltimo sut qui avait donné l'ordre d'un pareil déchaînement de violences...

Car Eduardo Ruggieri, prévoyant comme à l'accoutumée, était alors en voyage sur Coruscant.
Et son parti dissolu, il était impossible de faire le lien entre lui et le terrible événement. Même si le lien était évident. On ne pouvait l'accuser publiquement, sans s'attirer les foudres du politiquement correct dont savait se servir Ruggieri, malgré ses critiques à l'égard de telles conceptions morales.
Et avec son arrogance habituelle, il déposa une gerbe de fleurs rouges sur la pierre commémorative édifié par les dirigeants de l'Aurore sur les lieux du drame. Même si il quitta les lieux sous les insultes et les crachats, sourire en coin.

A peine ces blessures étaient-elles refermées, qu'il décida de faire son retour dans l'arène politique.
Et un retour bruyant, au possible. Il avait l'art de la mise en scène et espérait ne pas l'avoir perdu, durant sa courte absence.
Car à la surprise générale, il rejoignit les rangs du Parti Populaire Corellien. Si la présente formation essuya des critiques pour un tel acte, jugé provocant par le Parti de l'Aurore, l'intérêt qu'elle portait à Ruggieri était ailleurs que dans la morale politique.
L'ex-leader "national" venait en effet de proposer aux dirigeants du P.P.C. de reprendre les bastions ouvriers de l'Aurore, situés dans les banlieus éloignés de Coronet, à leur compte. La réputation sulfureuse de Ruggieri n'avait que peu entamée sa popularité dans ces localités, où la politique n'intéressait avant sa venue, peu de personnes. Désormais, on suivait ses prestations rocambolesques sur l'Holonet avec intérêt, s'amusant de ses propos désobligeants et de ses attitudes clownesques.
La proposition était donc trop alléchante pour être refusé par les intéressés qui pouvaient, qui plus est, se débarrasser de leur nouvelle recrue à n'importe quel moment, tant l'individu était condamnable.

Lorsqu'il se présenta à la députation, promettant de mener une campagne haletante et d'organiser de véritables débats populaires - qu'on voyait déjà virer à la foire d'empoigne - la rage des membres du Parti de l'Aurore n'eut d'égale que le contentement de ceux du Parti Populaire.
On riait au siège de ce dernier, du sale coup joué aux ennemis de toujours.
Eduardo Ruggieri, affutant son discours et ses déclarations, se lançait ainsi dans une nouvelle voie, celle du mensonge, même intéressé...


Dernière édition par Eduardo Ruggieri le Ven 2 Oct - 11:58, édité 17 fois
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Message  Eduardo Ruggieri Jeu 23 Juil - 12:21

Description physique :

De taille moyenne, Eduardo Ruggieri mesure 1,76 mètre et présente une morphologie assez commune. Physiquement, il ne présente pas les caractéristiques d'un athlète et sa démarche lui confère une allure de dandy qu'il s'applique à conserver en toute situation.
Son corps nerveux fait cependant état de son énergie débordante et de son esprit en constante ébullition. Si Ruggieri était un chien, il serait un dogue de Malastare : racé mais toujours prêt à mordre.
Ses cheveux noirs, son nez aquilin et une petite moustache finement taillée lui donne finalement cet air de contentement permanent, qu'on qualifie aussi d'arrogance, tandis que son regard noir - de par la couleur de ses yeux - lui confère cette obscurité à la fois si attirante et oppresante.

Souvent habillé avec raffinement, il se plaît à porter des vêtements robustes et simples, qui allient élégance et discrétion. Une pointe d'extravagance ou de singularité complète fréquemment sa tenue, par le port d'un monocle, d'une longue cigarette, de gants de cuir finement taillés ou d'une cravache, symbole de virilité et de domination.


Description psychologique :

D’une valeur et d’un courage bien souvent plus qu'équivalent à ceux de ses adversaires, il s’oppose à ceux-ci que par la conception toute personnelle qu’il a de la société. En effet, fier, intelligent, désinvolte, dénué de scrupules, son machiavélisme n’a d’égale que son incommensurable ambition. Ne considérant que son intérêt personnel, il ne recule devant rien pour réaliser ses ténébreux projets. Il est le cerveau qui élabore, organise, ordonne. Dominateur, son ascendance personnelle subjugue tous ceux qui l’approchent, et pourtant il n’a que dédain pour la piétaille qui le sert et à laquelle il laisse le soin des basses besognes.
En effet, l’impitoyable lucidité avec laquelle il observe le monde qui l’entoure n’inspire à cette nature orgueilleuse et rebelle qu’un souverain mépris.

C’est probablement ce sentiment, joint à celui qu’il a de son incontestable supériorité qui a fait de cet individu particulièrement doué, le cynique et redoutable politicien que l’on connaît.

Quant à s'identifier à un camp ou un groupement, il s'agira du sien, indéniablement. Aussi le fait que Ruggieri pense être le seul à pouvoir remettre Corellia sur la voix de la prospérité, le fait souvent confondre l'intérêt de sa planète avec le sien.
Plus précisément, Ruggieri représente cette fraction minoritaire de la population corellienne qui voit dans les immigrants et autres communautés aliens les causes des difficultés sociales et économiques de la planète. Mais au delà de ce discours xénophobe, Ruggieri a fait siennes les revendications des "mécontents". Notre ami représente donc, pour être clair, la frange "contestataire" du peuple de Corellia...


Parcours : /

Transition : /


Dernière édition par Eduardo Ruggieri le Lun 31 Aoû - 15:55, édité 7 fois
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