Nan Ono Struggles

FORMULAIRE de Nan Ono Struggles

Informations:

XP: 0
Niveau: 1

Argent emporté: 8252
Argent en banque: 0

Avertos: 0

Métier: Futur Padawan
Talent 1: Pilote né
Talent 2: Sens évolués ; ouïe et goût

Objets possédés:
Communicateur Holonet Intraplanétaire – Type pur Rp

Formations effectuées:
Aucune

Statistiques:

Caractéristiques:

PUI: 12
CON: 12
RAP: 12
DEX: 12
INT: 12
DIS: 12
PER: 12
CHA: 12


Bonus Compétences:

Armes Blanches: 0
Armes de Tir: 0
Médecine: 2
Discrétion: 4
Vol: 0
Mécanique: 0
Pilotage: 3
Sciences/Informatique: 0
Commerce: 0
Athlétisme: 4
Agilité: 4
Rhétorique: 8
Stratégie: 0
Esquive: 4
Combat à Mains Nues: 2
Vigilance: 7
Natation: 2
Langues: 8
Biologie et Chimie: 2
Intimidation: 0

Background:

Nombre de Points bonus obtenus pour votre Bg:

Race: Twi’Lek.

Histoire:

« Jan’Lopa ! On vient de me contacter ! Il faut que tu rentres immédiatement, ta femme donne naissance en ce moment même à votre deuxième enfant, et les médecins disent que ce futur mâle pourrait bien perpétuer la renommé du clan ! Tu n’es pas sans savoir qu’il est le seul mâle né dans le clan de sa génération…

- Oui, et crois-moi que c’est un hasard qui me déplaît au plus haut point. S’il venait à devoir représenter notre clan au sein du Conseil, je ne le supporterais pas. J’arrive de suite. »

Ce jour là, le père du nouveau né rentrait des Terres Lumineuses, et la succession pour diriger la ville allait se faire parmi les mâles de sa génération, aussi la pression qu’il avait ne lui permettait pas de profiter de la liesse de cet heureux événement. Il avait en effet redouté ce jour depuis son adolescence, et la mort d’un de ses oncles avait sonné la fin du Conseil auquel son propre père appartenait - mais ce dernier avait discrètement filé quelques jours auparavant ; la Bordure Extérieure regorgeant de moyens pour s’évanouir aux yeux de ceux que l’on souhaite éviter. Jan’Lopa avait réussi à hisser sa famille dans la caste guerrière depuis plusieurs années, et sous prétexte qu’il assurait la régence de la force militaire du Clan, il n’intégra pas le Conseil. Mais Jan’Lopa jouait sur deux tableaux, et un commerce florissant basé sur la culture du Ryll assurait à la famille de Nan’Ono des revenus confortables, tout comme un niveau de vie relativement aisé.

Suivant une éducation stricte et rigoureusement axée sur le développement personnel, Nan’Ono fut très tôt entrainé physiquement afin de répondre aux exigences imposées par la caste à laquelle sa famille appartenait officiellement. Mais à l’instar de la double vie que son père menait, Nan’Ono était instruit avec tout autant de rigidité. Tous les domaines devaient être abordés, et il fut envoyé à Kala’Uun dès l’âge de 14 ans pour y suivre des études plus poussées. Il commença ainsi l’initiation au combat Twi’Lek, qui réserve quelques particularités quant à l’utilisation des Lekkus lors des affrontements, et la bibliothèque tenait lieu d’occupation obligatoire pour les jeunes Twi’Lek qui avaient été envoyés dans les prestigieux établissements de la ville. Mais quand les jours de repos arrivait, Nan’Ono savait se trouver d’autres occupation que l’étude. L’organisation par niveaux de la ville est caractéristique : plus l’on descend dans les profondeurs, plus l’on risque de trouver de sombres activités. Le premier niveau - bien qu’entièrement enterré, la surface n’étant pas habitable - est le siège des activités des commerçants, locaux ou pas, mais c’est aussi là que vivent les riches familles de Twi’Lek, dans une opulence et un luxe non dissimulés. Au second niveau se trouvait ainsi l’établissement que fréquentait Nan’Ono, ainsi que la bibliothèque et les appartements des notables un peu moins fortunés. Le troisième niveau fait office de limite : c’est le dernier où les touristes vont, car il leur est fortement recommandé de ne pas s’aventurer plus loin. C’est pourtant au quatrième niveau que Nan’Ono passait le plus clair de son temps libre - les quartiers populaires n’étaient peuplés que par des Twi’Lek, et les seuls non-natifs devaient être très proches de l’une des familles habitant là, soit des résidents momentanés. Les pilotes long-courriers étaient de ceux-là, et ce sont eux que Nan’Ono appréciait le plus. Les histoires de pilotage à couper le souffle, des mondes et des peuples étranges, tout ce qu’ils rapportaient n’était que merveille aux oreilles du jeune Twi’Lek. Mais ils avaient aussi un amour pour le jeu et les paris, dont Nan’Ono fut vite pris lui aussi… La bonté n’étant pas une caractéristique prédominante chez les pilotes, Nan’Ono comprit à ses dépens qu’il valait mieux éviter de jouer trop d’argent, et même de jouer de l’argent tout court lorsqu’on n’a pas encore de revenus réguliers.

Mais cette insouciance n’était pas faite pour durer. Son père voulait faire de lui un notable dans leur société, Nan’Ono suivit donc des études scientifiques incluant maths, physique, chimie, biologie, médecine sur la planète Bespin. Cette planète n’était pas vraiment pour lui plaire, et ses études encore moins ; il abandonna quelques mois après avoir validé son premier examen. Ce que Nan’Ono voulait, c’était apprendre de nouvelles langues pour voyager et découvrir les richesses de la galaxie et il décida donc de quitter sa planète d’origine, en se compromettant de la même occasion avec son hypothétique destin de notable. Toutefois, il n’avait aucune idée de son avenir plus lointain. S’étant quelque peu brouillé avec sa famille, il avait gardé quelques contacts avec un pilote de confiance qu’il avait rencontré sur Ryloth, nommé Frykt Hogbler.

Ce pilote, un Aleena qui avait été assez reconnu sur sa planète d’origine au cours de sa carrière dans les courses de Pod-Racers, s’était retiré et avait fondé un petit commerce de transport basé sur Naboo. C’est sur cette planète que Nan’Ono le retrouva, et dont il tomba amoureux. Pourtant très éloignée tant dans le climat que le faune et la flore présentes sur Ryloth, Naboo permit à Nan’Ono de passer plusieurs mois très agréables aux côtés de celui qui était devenu son ami. Frykt employait Nan’Ono pour des missions de pilotage entre la planète et les vaisseaux à ravitailler en orbite - il ne payait que peu le jeune Twi’Lek, mais en contrepartie ce dernier était nourri, logé et blanchi. L’Aleena offrit aussi à Nan’Ono quelque chose d’inestimable : la possibilité de rencontrer des voyageurs dont certains séjournaient à l’auberge tenu par la femme de Frykt. C’est ainsi que le Twi’Lek put perfectionner sa maitrise du Basic, et apprendre quelques rudiments dans d’autres langues, ce qui le satisfaisait amplement. Nan’Ono voyait naître en lui le désir de monter lui aussi son entreprise de transport, naturellement doué pour le pilotage et ayant pris goût à manœuvrer les petits engins qui relient Naboo à ses stations orbitales. Le projet ayant mûri dans sa tête, il décida d’en faire part à Frykt. La discussion se prolongea d’arguments en arguments sur plusieurs semaines, et l’Aleena fit entendre raison à Nan’Ono : il était beaucoup trop jeune pour créer sa propre affaire. Et le Twi’Lek suivit ainsi les paroles que son ami avait fini par lui dire : « Comme tu aimes parler et argumenter - et que vous autres Twi’Lek êtes plutôt enclins à ce genre de jeux rhétoriques, tu n’as qu’à aller t’inscrire à l’École de Diplomatie et de Politique d’Alderaan. Ça va te remettre à ta place de te confronter à des êtres qui ont le verbe facile, et ça te permettra de réaliser ce qu’est la vraie vie, celle des magouilles et des pratiques politiques. Le pilotage ne te fera pas vivre, m’est avis que les droïdes auront tôt fait de prendre notre place, c’est moi qui te le dit ! »

Description physique:

Nan’Ono possède, comme la majorité des membres de son espèce, deux Lekkus à l’arrière de son crâne, et des yeux oranges ; cependant ses Lekkus ont hérité d’un défaut de coloration, étant d’un violet Améthyste quand son corps est lui vert très pâle. Cette particularité lui a valu de nombreuses moqueries, et sa petite taille - n’atteignant même pas le mètre quatre-vingt - n’a pas arrangé les choses. Ces caractéristiques physiques peu avantageuses sont compensées (selon lui) pas sa carrure fine mais athlétique, issue de l’entrainement rigoureux qu’il a du suivre. Ce physique lui assure une assez bonne endurance, qualité très travaillée pour les castes guerrières dont il faisait partie. Il possède un nombre assez conséquent de petites cicatrices, rappels de ses entrainements au combat, mais aussi des nombreuses escapades en solitaire qu’il effectuait sur Ryloth.

Description psychique:

Nan’Ono n’est pas un Twi’lek très commun. En effet, dès son plus jeune âge, il s’indigne de l’esclavage ancestral organisé par son peuple envers les femelles Twi’Lek. De plus, habitant dans la partie la plus proche de l’hémisphère glacé, il a toujours adoré ce climat froid et sec, partant souvent seul se promener pour penser et se reposer loin de l’effervescence de la bande habitable ; bien que ces marches ne se fassent toujours qu’en souterrain, et les jardins flottants étant des phénomènes qu’il trouvait autant amusant que passionant. Les moqueries régulières sur son physique l’ont rendu très méfiant envers tous les êtres vivants de la galaxie, au point d’être trop souvent sur la défensive et parfois un peu paranoïaque, s’ajoutant au fait qu’il est peu sur de lui et un brin pessimiste sur de nombreux sujets. Il est ainsi devenu au fil des années un locuteur qui n’hésite pas à être cynique et incisif dans ses propos quand il souhaite obtenir quelque chose ou défendre ses positions, au risque de parfois récolter de mauvaises surprises. Il possède cependant un sens important du respect, et prend plaisir à se mesurer à plus sage que lui dans des discussions poussées sur des thèmes divers, exerçant sa maitrise de la langue et enrichissant son vocabulaire. Cette pratique calme et intellectuellement stimulante lui permet aussi de contrer son côté colérique qui le poursuit depuis son enfance, bien qu’il se laisse parfois aller de temps à autres…

Cet esprit singulier est aussi imprégné par sa culture ethnique dont il ne se détache pas, ainsi il nourrit aussi une passion pour l’élaboration de toutes sortes de substances à base de Ryll, lichens, moisissures, champignons et viande de Rycrit ; substances dont il garde le secret, tant leurs effets divers et variés que leurs compositions. Ces facilités sont en partie dues à ses études scientifiques, mais il refuse toujours de l’admettre. Il est aussi capable, à l’instar de tous les membres de son espèce, de ne transmettre aucune émotion en public, bien que cette capacité soit - trop - facilement altérée quand il consomme une boisson alcoolisée, chose que Frykt a su exploiter à des fins pas plus vilaines que celles de lui soutirer des informations sur ses fréquentations féminines.

Parcours:

Après avoir passé quelques temps à vagabonder ça et là en attendant l’ouverture de l’École de Diplomatie et de Politique d’Alderaan, il a suivi les premiers cours dispensés.

Transition:

Nan Ono Struggles effectuait ses études à l’École de Diplomatie et de Politique d’Alderaan, qu’il avait intégré dès la réouverture très récente. Pourtant, bien que prenant part aux cours avec assiduité, il ne se sentait pas dans son élément. Les cours dirigés par le professeur Kaol n’en étaient pas la cause, mais bien quelque chose au fond de Nan Ono… Il décida donc d’abandonner les cours, afin de se poser les vraies questions sur son être et son avenir.

C’était donc la deuxième voie d’études qu’il quittait. Mais au cours de ses études et différents voyages, il avait entendu parler d’un Ordre un peu particulier, que beaucoup de pilotes considéraient comme mystérieux, et gênant pour les quelques contrebandiers qu’il avait eu l’occasion de croiser. L’Ordre Jedi. Hormis un nom, et quelques descriptions plus qu’imprécises, Nan Ono ne connaissait rien à ce sujet. La seule information dont il était sûr, est que les Jedis sont hostiles à l’esclavage – chose qu’il avait particulièrement appréciée - ayant eu l’occasion de tomber sur un rapport dans le bureau de son père, quand il habitait sur Ryloth. Souhaitant glaner plus d’informations, il partit en direction de la bibliothèque la plus complète qu’il connaissait, celle située sur Coruscant. Il passa plusieurs semaines à chercher les informations qui l’intéressaient, exercice difficile car les renseignements étaient disséminé dans de nombreux ouvrages, et chacun ne contenant qu’une page au mieux à leur sujet. Deux mois s’étaient écoulés, au cours desquels Nan Ono était passé de nombreuses fois devant un somptueux bâtiment, ce qu’il savait maintenant être le Temple de l’Ordre Jedi. Il avait à présent un peu mûri, et il sentait que c’était une voie dans laquelle il pourrait s’engager de tout son être. Toutefois, quelques doutes persistaient, et il avait longuement hésité à se rendre en au Temple. Quelques jours passèrent, et il décida d’aller demander conseil auprès d’un Maitre Jedi. Ne sachant pas à quoi s’attendre, il voulait néanmoins faire bonne impression, et il revêtit sa robe traditionnelle du peuple Twi’Lek, d’un gris-beige uni avec une grande capuche capable d’accueillir les Lekkus.

À son arrivée, il fut émerveillé par la beauté des lieux, ne serait-ce que cette simple salle servant d’accueil au public. Il se présenta, et la secrétaire des lieux lui indiqua une pièce en face de la réception, joliment fleurie. L’attente ne fut pas longue, et il fut invité par un humain relativement âgé à le suivre. Suivant un couloir très sobre, ils arrivèrent devant une porte identique à ses semblables, et ce Maitre lui expliqua en quelques mots la procédure à suivre lorsque le Maitre avec qu’il allait s’entretenir allait le recevoir, puis il partit, sa longue cape flottant gracieusement derrière lui. Quelques secondes plus tard, Nan Ono entendit une voix l’invitant à entrer ; il posa sa main sur l’interface d’ouverture, et pénétra dans la pièce. Elle était circulaire, relativement petite, et plongée dans une semi pénombre grâce aux stores fixés aux fenêtres. Deux sièges trônaient au centre de la pièce, aux aussi circulaires, l’un épousant la forme habituelle d’un quelconque fauteuil, l’autre tout à fait plat, sur lequel se tenait une forme emmitouflée dans sa robe couleur sable, que Nan Ono venait tout juste de remarquer. L’entretien fut pour le moins rapide, bien que très instructif et satisfaisant amplement la curiosité dont le jeune Twi’Lek faisait preuve. Maitre Yoda, ce petit être vert, à la sagesse inversement proportionnelle à sa taille, avait en effet répondu à toutes les questions que Nan Ono lui avait posé ; mais tout en apportant ces réponses, Yoda le guidait de sorte à ce qu’il se rende compte lui-même qu’il n’était pas encore prêt à se consacrer pleinement à l’Ordre. Nan Ono comprit que le temps ferait son effet, et Maitre Yoda acheva l’entretien sur ces paroles : « Quand prêt tu sentiras, me voir tu reviendras. Mais pas avant. »

Ainsi commença pour Nan Ono une longue période faite de maintes méditations. Il se rendit directement sur Naboo suite à l’entretien au Temple. Il affectionnait particulièrement cette planète, se promenant dans les terres boisées et marécageuses, visitant de ci de là les bâtiments traditionnels, explorant les chapelets d’iles riches en faune et flore, se questionnant sur l’Univers, la Vie, soi-même, au travers de tout ce qu’il croisait au cours de ses pérégrinations. Maitre Yoda lui avait donné quelques pistes pour avoir les prémices des sensations à la Force, mais à part une attention plus particulière à l’égard de son environnement que Nan Ono avait développée, il ne ressentait rien de plus… éloquent. Les jours se succédaient, et trois mois sur Naboo passèrent. Le Twi’lek avait besoin d’un changement d’horizon, il prépara son départ le matin, et était le soir même dans un vaisseau l’emportant droit vers Kashyyyk. Là, il fit la connaissance de quelques autochtones, les Wookies, avec lesquels il passa un mois sans méditer une seule fois, ne faisant que profiter de la végétation exubérante, dont on pouvait profiter en toute sécurité sur les villes des Wookies, construites autour des arbres et à une distance respectable du sol de la planète réputé pour ses créatures agressives et dangereuses. Il repartit aussi promptement qu’il l’avait fait sur Naboo, profitant d’un des vols peu réguliers en direction d’Ithor, planète dont il avait seulement eu des échos de la forêt qui recouvrait, disait-on, toute la surface, sans aucune altération des êtres qui y étaient nés, les Ithoriens.

Le jeune Twi’Lek arriva ainsi sur Ithor, et découvrit pour la première fois les vaisseaux mères gigantesques sur lesquels vivaient les Ithoriens, soucieux de préserver la beauté naturelle de leur planète. Bien que très bien accueillit à son arrivée, le peuple Ithorien étant pacifiste, Nan Ono sentait que la présence prolongée d’étrangers les dérangeait. Ne se laissant pas décourager, il remplit une demande de séjour prolongé auprès du bureau d’immigration, car il souhaitait rester sur Ithor plus longtemps qu’il ne l’avait fait sur Kashyyyk. Il apprit très vite les us et coutumes de ce peuple, et comprit la raison de cette apparente distance que les Ithoriens avaient envers les étranger, ceux-ci n’étant que peu respectueux de la nature – raison pour laquelle très peu d’étranger ne séjournaient que pour quelques semaines tout au plus, et seuls les résidents de longue date étaient autorisés à se rendre sur la planète elle-même. Un mois s’était écoulé, et Nan Ono commençait tout juste à avoir des contacts plus chaleureux avec les Ithoriens. Il réussit ainsi à trouver un travail en tant que pilote, au vu de ses capacités innées, assurant le transport des vivres et autres marchandises entre les différents vaisseaux mères. Pendant son temps libre, Nan Ono s’instruisait dans les nombreuses bibliothèques présentes sur les stations flottantes des Ithoriens, dont la majorité était consacrée à l’étude de la flore d’Ithor, ou s’adonnait aux exercices de méditation conseillés par Yoda, bien que ces derniers ne donnaient pas plus de résultat que sur Naboo. Trois mois de plus passèrent, et, ayant gagné la confiance des Ithoriens, il eu l’autorisation d’accompagner une des expéditions qui se rendaient chaque semaine sur le sol de la planète. La paix et l’harmonie qui y régnaient étaient sans pareil, et après quelques expéditions en tant que transporteur, Nan Ono fut muté et prit part, toujours au poste de pilote d’un engin de transport de matériel scientifique, à une expédition qui devait à terme durer deux mois, durant lesquels les membres ne seraient pas ravitaillés. Au contact direct avec l’environnement, Nan Ono comprit peu à peu l’importance et la plaisir que les Ithoriens prenaient à protéger l’environnement d’Ithor. L’expédition remplit les attentes des biologistes Ithoriens présents, mais elle fut révélatrice pour le jeune Twi’Lek. Il passa un mois de plus au cours duquel il se consacra presqu’entièrement à la méditation, sur le rôle qu’il pourrait jouer en tant que Jedi, celui de protéger la Vie.

Quittant les Ithoriens, qu’il remercia chaleureusement pour tout ce qu’ils lui avaient apporté, il se rendit au Temple Jedi. Après un second entretien avec Maitre Yoda, Nan Ono passa devant le Conseil Jedi, qu’il l’estima prêt à rentrer dans l’Ordre. Ainsi débutait la formation du jeune Twi’Lek, novice de l’Ordre Jedi.