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Gabriel de Malavoy

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Gabriel de Malavoy Empty Gabriel de Malavoy

Message  Kiritsu Sam 14 Mar - 2:14

Et bien, je profite à l'image de quelques collègues de cette coupure pour tourner une sacrée page.
Voici ce qui sera, j'espère, un personnage que je jouerai avec autant de plaisir.


FORMULAIRE de Gabriel de Malavoy

Informations:

XP:0
Niveau:1

Argent emporté: 5 000 Dataries
Argent en banque: 0

Avertos: 0

Métier: Candidat à la Députation


Talent 1: Barratin
Talent 2: Leadeur né

Objets possédés:
aucun

Formations effectuées:
Aucune


Statistiques:

Caractéristiques:

PUI: 10
CON: 10
RAP: 10
DEX: 10
INT: 10
DIS: 14
PER: 14
CHA: 21


Bonus Compétences:

Armes Blanches:
Armes de Tir: 5
Médecine:
Discrétion:
Vol:
Mécanique:
Pilotage:
Sciences/Informatique:
Commerce:
Athlétisme:
Agilité:
Rhétorique: 20
Stratégie:
Esquive:
Combat à Mains Nues:
Vigilance: 3
Natation:
Langues: 15
Biologie et Chimie:
Intimidation: 7

Background:

Nombre de Points bonus obtenus pour votre Bg:

Race: Humain

Histoire:

Gabriel Sebastian de Malavoy a eu pour première chance de naître homme dans une noble famille d’Alderaan. Famille dont les représentants se plaisent à dire qu’elle est l’une des plus anciennes ayant colonisées la planète … Disons que c’est une famille dont les origines sont assez lointaines pour ne plus être contestées.

Famille ancienne aux membres fiers de leur nom, famille riche car propriétaire d’immenses surfaces terriennes … Mais famille tristement conservatrice dans sa façon de penser et de voir le monde qui l’entoure.

On dispensa à Gabriel un enseignement privé et à domicile car l’école publique est « indigne de notre rang ! » (selon madame la Comtesse). Les écoles étaient de toute façon peu nombreuses dans cette Province éloignée de la Capitale, Madame la Comtesse n’aurait pas supportée voir le fruit de ses entrailles jouer dans la même cours que les roturiers ...
Monsieur le Comte, quant à lui, apporta le titre à la famille mais guère plus. C'était un mari quelque peu soumis aux caprices excessifs de son épouse, cette dernière accordait en définitive bien plus d'importance à ce titre que lui, probablement parce qu'elle avait fait beaucoup d'effort pour l'obtenir, un long et pénible travail de séduction.

Dans ce carcan traditionnaliste, il était de rigueur de lier les bonnes familles entre elles.
Ainsi, dès qu’il eut l’âge de la majorité, 18 ans, on arrangea un mariage avec l’aînée d’une autre famille. Une baronne … baronne quelque chose. Le titre n’était pas « à la hauteur de notre valeur » mais on savait faire des exceptions chez les Comtes de Malavoy, et le compte en banque compenserait gentiment la faible titulature.

Ces pensées inavouables en nos temps modernes étaient soigneusement dissimulées en public, seul Gabriel voyait au delà des masques mondains qui se comptèrent par centaines durant la cérémonie des fiançailles.
On se vantait à la table des Malavoy, à laquelle siégeait la jeune baronne selon la tradition, de la beauté de la promise et de la chance que Gabriel avait d’avoir « cueillie si belle fleur ».
Mais le goût du Comte était ailleurs, un goût inavouable dans ce contexte asphyxiant, un goût qui le conduisait à consommer le mariage que très rarement et avec un effort que beaucoup n’auraient pas à rechercher à sa place.

Les années passaient et, fidèle à sa condition et surtout aux traditions qui y sont attachées, il ne devait pas travailler. Gabriel poursuivait donc des études de science politique, la « seule activité digne de notre rang » (dixit Madame la Comtesse, mère de Gabriel).
N’allons pas jusqu’à le plaindre, Gabriel appréciait ce confort financier qui le permettait de ne pas se préoccuper des dépenses tout en se livrant à l’actualité. Il se plaisait à prendre connaissance des nouvelles, à les commenter et donner son avis.
On lui conseilla de se rendre dans ce qu’on appelait des « Salons de discussions » organisé par les autorités locales afin de dynamiser l’engagement citoyen. Des représentants de chaque formation politique à l’échelle locale étaient présents et débattaient de sujets d’actualité, le public était invité à participer. Gabriel s’y rendait très souvent, d’abord comme spectateur et commença peu à peu à donner ses avis en public. Il aimait se confronter aux intervenant mais, ne voulant pas se mettre à dos tout le monde, visait la formation dont les idées lui semblaient les moins acceptables.

Gabriel se vit naître un intérêt particulier pour la politique, pas tellement pour traiter les dossiers, mais pour exister publiquement, voire ses gens écouter et adhérer non pas aux propos de celui qui semblait, pour eux, avoir raison, mais celui qui percutait leurs esprits par ses discours.
Cet intérêt pour la politique allait croissant tandis que celui pour sa femme allait décroissant. Cette dernière ne perdit pas davantage de temps pour rechercher la compagnie d’autres hommes tout en se demandant pourquoi le Comte, son mari, ne l’en empêchait pas et feignait de croire naïvement à ses fausses excuses. Recherchait-elle par cette collection de « bons amis » son attention ? Son amour ? Qui sait ? En tout cas, le divorce était inconcevable et il fallait sauvegarder les apparences.

Les deux époux vivent depuis sous un accord tacite de grand libéralisme pourvu que jamais les cornes ne se remarquent.
N’allez pas croire qu’il méprise sa femme, non, il la respecte et se souvient qu’elle non plus ne l’a pas choisis, c’est pour cela qu’il a décidé de ne pas rendre sa vie plus désagréable encore.

Mais les rumeurs avaient la vie dure, et même si on ne le disait pas à voix haute, on s’étonnait de l’absence d’héritier, des fréquentations de la Comtesse et de l’indifférence du Comte qui préférait participer à ces salons de discussions …

Dans cette Province plus reculée, la Noblesse locale avait une certaine importance et alimentait les conversations sans sujet.
Las d’entendre ses oreilles siffler, Gabriel entrepris d’y mettre un terme. Il avait écouté et participé depuis plusieurs années maintenant à ces salons où l’on débattait de la situation de la Province et plus largement encore du Royaume. Car s’il était une chose que l’on avait communiquée à Gabriel, c’était la passion pour le Royaume et la fidélité pour le Roi.
Ce n’était pas très difficile pour lui. Gabriel avait beaucoup lu sur la notion de pouvoir, de politique. C’était de loin le trait humain qui le fascinait le plus, il avait donc un profond respect voire une dévotion envers la personne qui, pour lui, incarnait le pouvoir dans le Royaume d’Alderaan.
A l’occasion de ces discussions, il faisait souvent connaître cet état d’esprit et se laissa convaincre de s’inscrire au parti de la Coalition Royale malgré certains désaccords de principes.
Gabriel n’accepta pas à contre cœur, sans adhérer à quelconque parti, il ne pouvait pas espérer avoir une existence publique. De plus, la Coalition Royale était largement majoritaire dans cette Province. Son idée était claire : accéder à un mandat National.

Il avait pour cela désormais un atout, il était quasi assuré d’être le candidat du parti majoritaire, encore fallait-il supplanter le candidat traditionnel. Ce dernier était âgé et abattait tant bien que mal son quatrième mandat successif. Gabriel avait plus de temps et le passa à se faire connaître des instances locales, des diverses agglomérations de la circonscription, anima pour le parti des séances de réflexion à l’image de celles auxquelles il avait lui-même participé.

C’est dans le débat national concernant la nouvelle Charte constitutionnelle qu’il s’illustra par rapport à son adversaire. Gabriel défendit le texte avec ferveur, c’était un pari risqué qu’il avait fait par rapport à son adversaire du même parti qui avait joué la carte du traditionalisme, plus sûre dans une Province reculée.
La Charte fut adoptée par le peuple d’Alderaan, ce qui jeta le discrédit sur le Député en fonction qui n’avait plus qu’à se taire pour laisser à Gabriel le soin d’être l’image du parti dans la Province et représenter l’avenir … Assuré d’être le candidat du parti à la Députation, il fallait s’affirmer par rapport aux autres candidats.

C’est à cet instant que sa femme allait entrer en scène puisqu’il devait, au moins pour un temps, faire taire ces rumeurs qui dissuaderaient la population de voter en sa faveur. Porter les idées du parti haut et fort, il savait le faire. Le fait d’être le noble local suffisait à ce qu’il soit connu, mais il devait combattre cette image qu’on lui prêtait.

Il se livra à ces dîners mondains qu’il avait coutume de subir en multipliant les douces attentions envers sa femme qui n’en appréciait que plus les périodes de campagnes. L’idéal eut été un héritier, mais le temps manquait, l’arrivée d’un jeune enfant aurait rendu impossible la conduite de la campagne et madame la Comtesse devait être à 100% au service de l’image de son mari, le Comte.

Pour profiter de sa noblesse sans la subir, Gabriel entreprit de faire raccourcir son patronyme afin qu’il ne reste que « Gabriel de Malavoy ».

La vie publique n’était en définitive pas si différente de sa vie privée : simulation et dissimulation, et ciel qu’il aimait cela.
Se prêter à ces jeux de cours pour la conquête d’un fauteuil était particulièrement gratifiant pour Gabriel qui voyait autour de lui des gens graviter, espérant le voir remporter ce fauteuil.

Etait-ce du respect ? Etaient-ce ces gens qui faisaient véhiculer les rumeurs à son sujet ? Ces mêmes personnes qui pariaient sur lui pour leurs propres intérêts ?
En même temps qu’il découvrait la nature humaine, il découvrait la seule chose qui attirait le respect : le pouvoir.

Description physique:

Très arithmétiquement, Gabriel est un homme d’1m80 pour à peu près 80 Kg, il entre donc dans la moyenne de l’espèce humaine. Il présente une morphologie honorable, suffisamment corpulente pour sa taille afin de ne pas paraître brindille, il n’est pas non plus à classer dans la catégorie des musclés.
Lorsque l’on s’approche, on aperçoit l’expression sereine et quelque peu angélique qu’il expose au monde, vitrine d’un bonheur plus ou moins réel. L’éducation faisant, Gabriel a appris à regarder ce qui l’entoure avec une certaine hauteur sans témoigner aucun mépris, ses yeux d’un marron profond qu’il a hérité de son père paraissent toiser ce qui lui appartiennent, ce qu’ils convoitent. Des cheveux châtain clairs et très raides tombent de façon disciplinée sur ses épaules légèrement fuyantes.
Ce sont là les deux éléments principaux permettant de reconnaître Gabriel, mais son teint plutôt pâle est assez caractéristique également, conséquence d’une exposition réduite au soleil d’Alderaan.

Il est généralement vêtu sobrement, si les matériaux utilisés pouvait s’avérer coûteux, il ne présentait aucune extravagance ni aucun signe extérieure de richesse. Se donnant pour objectif de représenter une population, tous devaient pouvoir s’identifier à lui et surtout le sentir accessible.

Paraître … tout un art, un art que l’on travaille, que l’on cultive dans la noblesse puritaine.

Description psychique:

La personnalité de Gabriel a largement été façonnée par le mensonge. Tout d’abord, sa famille le pratiquait couramment dans ses relations sociales, mensonge et hypocrisie. De plus, il doit cacher un pan entier de sa personnalité à son entourage le plus proche depuis qu’il se l’est découvert et qu’il l’a accepté au risque d’être renié. Encore qu’être renié par sa famille ne le dérangerait pas particulièrement, mais il avait désormais un rôle à défendre.

Derrière tout mal se cache un bien : Gabriel parvient sans peine à cacher ses intentions, ses sentiments et tant bien que mal son ambition, ce qui constitue probablement un atout pour l’avenir qu’il se destine. Toutefois, il devra probablement apprendre que la sincérité également peut être payante.

Partisan du pragmatisme, son état d’esprit est très différent de son physique.
Il répugne avec vigueur toute forme d’idéalisme qui n’apparaît pour lui que comme un moyen de convaincre le plus grand nombre, d’attirer à soit les masses incapables de voir la réalité, préférant se complaire dans la facilité.

Il croit toutefois en certaines valeurs telles que la confiance et la fidélité. Attention, croire en la fidélité ne signifie pas qu’il faut être fidèle envers tout le monde, ce sont là des liens qu’il convient de tisser qu’avec ceux qui le méritent …


PS : Prêt pour évaluation
PS au ps : comme la fiche n'a pas encore été mise en évaluation, je me suis permis de modifier le 3ème paragraphe de l'histoire.


Dernière édition par Kiritsu le Sam 25 Juil - 1:27, édité 1 fois
Kiritsu
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