Gabriel Walsser

FORMULAIRE de Gabriel Walsser

Informations:

XP: \
Niveau: \

Argent emporté: 5000
Argent en banque:

Avertos: 0

Métier: Chasseur de primes
Talent 1: Agile
Talent 2: Charmeur

Objets possédés:
- Vêtements



Formations effectuées:
Aucune


Statistiques:

Caractéristiques:

PUI: 13
CON: 10
RAP: 15
DEX: 15
INT: 10
DIS: 10
PER: 13
CHA: 14


Bonus Compétences:

Armes Blanches: 20
Armes de Tir:
Médecine:
Discrétion: 5
Vol:
Mécanique:
Pilotage:
Sciences/Informatique:
Commerce:
Athlétisme: 5
Agilité: 10
Rhétorique:
Stratégie:
Esquive: 10
Combat à Mains Nues:
Vigilance:
Natation:
Langues:
Biologie et Chimie:
Intimidation:

Background:

Nombre de Points bonus obtenus pour votre Bg: 10

Race: Humain

Histoire:
Coruscant, si belle et se fière. Immense Mégalopole hébergeant les architectures les plus abouties comme les taudis les plus infestés. Nombreuses sont les personnalités et êtres de pouvoir à y avoir trouvé refuge, cœur économique et culturel exerçant son pouvoir politique sur la galaxie. Lieu où les grands font des choix influençant la vie de milliards d'individu au travers de l'espace jusqu'aux planètes les plus lointaines et obscures, mais incapables de prendre des décisions pour protéger leurs concitoyens les plus proches. Coruscant, l'hérésie incarnée d'un monde plongé dans la déchéance, là où les castes ne se croisent que rarement ou alors pour confronter leurs influences.
Gabriel est une native de cette ville-planète, de la zone médiane plus précisément. L'entre-deux mondes, là où la petite bourgeoisie s'autorise quelques écarts avec les petites frappes qui s'invitent à l'étage supérieur. C'est ainsi que la jeune humaine passa sa vie les yeux tournés vers le ciel en vain, puisqu'elle ne fit que tomber dans les bas-fonds.

Sa naissance fut un événement commun pour cette mégalopole aux plusieurs centaines de millions d'habitants. Un nom de plus inscrit dans les archives d'une cité déjà surpeuplée, un parasite de plus pour l'épanouissement de la Terre, racine des immenses édifices qui avaient poussés comme des champignons à sa surface. A l'image de sa vie, ses premiers instants en tant qu'être à part entière furent dénués de contacts humains, le droïd médical chargé de la mettre au monde prit le nouveau-né entre ses bras mécaniques pour le porter directement à sa couveuse, au milieu d'autres rejetons tout aussi bruyants et superflus. Gabriel était fille d'ingénieur. C'était lui, entre autres, qui s'occupait d'imaginer, dessiner, préparer les plans pour divers types de réacteurs utilisés dans la construction de petites navettes que les nouveaux-riches de Coruscant s'arrachaient à prix d'or. Il était au bas de l'échelle alimentaire du monde de la consommation, touchant uniquement ces objets de luxe au sein de son esprit, là où chaque vis, chaque plaque de tôles et autres composants trouvaient leurs places pour rendre ces appareils aussi rapide et confortables que possible. Toujours bien habillé dans les mêmes couleurs sombres assorties à ses cheveux, grand et droit, un homme fort qui en imposait d'intelligence et de carrure. Un homme à femmes, qui oublia trop vite celle qui l'attendait le soir avec leur enfant.
C'est ainsi qu'il ne s'occupa pas de sa progéniture. Officiellement trop prit pas son travail pour en prendre soin, ce fut d'ailleurs pour la présenter à son patron en demandant une augmentation qu'il prit, pour la seule et unique fois de leurs vies, sa fille dans ses bras; Officieusement, l'ingénieur voulait un garçon et se sentit trahi lorsqu'il apprit le sexe définitif du fœtus.
Sa mère, elle, était une femme adorable. Petite, menue, mais élégante. Attentionnée malgré son air sévère au contact des inconnus. Elle s'occupa de Gabriel du mieux qu'elle pu, s'essaya à combler l'absence d'un père en offrant de l'amour pour deux. Elle fut d'ailleurs la seule personne que la petite Walsser réussit à aimer pour ce qu'elle est et non pas pour son utilité.

Son enfance démarra plutôt bien, à l'exception de quelques tranches de vie que son âge ne lui permit pas de comprendre réellement et d'une difficulté certaine à assimiler quelques mouvements de base, comme la marche, ou la propreté. La famille avait pour habitude, peut-être deux voir trois fois par semaine de se rendre dans un bar, d'ambiance apparemment familiale puisque la clientèle s'y retrouvait souvent en couple et quelques fois en famille. Ce fut un des rares endroits à avoir été témoin de la supercherie qui caractérisait le mariage Walsser. Le père souriait à la mère. L'enfant, une glace enfoncée dans la bouche, espionnait les regards complices de ses parents jusqu'à ce que celle qui lui avait donné la vie ne la prenne par la main en abandonnant le géniteur au nouveau décor de ce club une fois l'heure du dîner passé.
De plus profond qu'elle se souvienne, Gabriel passait ces fins de soirées dans le lit conjugal, enlacée dans les bras lovés de sa mère jusqu'à ressentir chaque frisson de son corps lorsque de timides larmes s'échappaient de ses paupières.
Ce n'était que plus tard, alors que la gamine âgée d'à peine une dizaine d'années pouvait veiller un peu plus dans la nuit, qu'elle comprit les origines de cette tristesse. Son père avait pour habitude de rentrer de ces soirées complètement pinté, titubant à chacun de ses pas, transpirant un mélange d'alcool et d'odeurs féminines, avant de frapper sa femme pour le simple fait qu'elle existait.
C'était une chose que la petite fille prit en témoin à plusieurs reprises, sans jamais en saisir le sens. Ses petits yeux marrons, les pupilles dilatées, avaient observés chacun des mouvements du bras qui s'étaient abattus sur le corps meurtrie de sa mère, sans jamais éveiller en elle le moindre mouvement de rébellion.

Sa vie hors du cadre familial fut quelque peu différente. Gabriel eu la chance d'aller dans l'un des meilleurs établissements scolaire des environs. Elle fut une élève relativement studieuse pour peu que l'on lui explique les intérêts d'apprendre chacune des leçons enseignées. Car c'est ce qui avait toujours cloché chez la jeune fille, cette incapacité à s'intégrer au sein d'une communauté ou d'une société. Elle n'eut que très peu d'amis, et dans les rares cas où elle côtoyait d'autres étudiants régulièrement ce n'était que des amitiés à sens unique. La jeune Walsser n'avait jamais ressenti le besoin de justifier sa présence auprès des autres ou d'attirer leur attention. Ses rapports humains étant seulement régis par l'aspect le plus réducteur du besoin, du commandement et de l'obéissance pour arriver à une fin.
Il fallut attendre sa seizième année pour que ce comportement soit analysé et compris, du moins par le personnel médical et scolaire, car ses parents ne s'y résignèrent jamais.
Il était une matière où Gabriel était loin d'exceller, la biologie. Chacun des cours, chacun des examens, chaque heures passées à l'étude de cette science furent pour elle de véritables calvaires. Et ce fut en toute logique, selon elle, qu'elle demandait aux meilleurs de cette catégorie de lui en expliquer les concepts voir même de réaliser ses devoirs. Jusqu'au jour où l'un des élèves concernés se rebella. Las de travailler pour deux, il répondit à une nouvelle demande par la négative. La jeune Walsser ne comprit pas tout de suite ce qui se passait. Après tout, elle n'était pas douée en biologie. Mais il lui sembla logique que cet être-objet était déréglé.
Ce fut sans aucune émotion que la jeune fille assomma le garçon afin d'en examiner le cerveau, en pleine rue, à la sortie des cours et légèrement à l'écart des grands axes de passage pour ne pas gêner les flux de déplacements de foule, armée d'un scalpel et d'une petite scie.

L'acte qualifié d'immonde par son entourage, mena à son renvoi de l'établissement scolaire, plongeant sa mère dans une profonde dépression et son père dans une colère de rage noire. Cela lui permit de trouver mille et une nouvelles excuses pour battre sa femme, l'accusant de tous les noms pour avoir mis au monde un monstre psychologiquement diagnostiqué comme n'ayant aucune empathie, la zone de son cerveau contrôlant cette fonction psychologique ne montrant aucun signe d'activité cérébrale sur les différents scanners réalisés.

Cet événement fit état de rupture dans la vie d'apparence tranquille de la famille Walsser. Deux années s'écoulèrent en l'espace d'un instant. Vraisemblablement touchée au plus profond de son être, sa mère décéda, consumée par une maladie qu'elle n'avait jamais voulu soigner. Son père, finalement seul avec une fille qu'il ne désirait pas, la céda sans regrets autour d'une table de jeu à un énorme Wookie vivant dans les niveaux inférieur de Coruscant.
C'est ainsi que la véritable vie de la jeune femme débuta, elle qui avait toujours souhaité apercevoir la surface de la mégalopole qui l'avait vu naitre, fut abandonnée dans ses profondeurs par un père qui avait su se satisfaire d'en faire une esclave.

Son joli minois avait valu à Gabriel d'être rapidement envoyée dans les bas-fonds, là où la violence et la débauche faisaient loi, il était en effet devenu rare de voir une jolie humaine dans le paquet de Twi'Lek qui arpentaient les sales coins des bas-fonds. Mais la déchéance de la jeune femme ne se fit pas sans mal. Bien que toute sa vie durant, elle s'était habituée à des rapports humains basé sur l'ordre et l'obéissance, il n'avait jamais été question qu'elle fasse quelque chose qui lui déplaisait. Son nouveau maitre, dont elle n'avait jamais vu le visage ni entendu la voix, envoya le soir même trois de ses hommes lui apprendre le métier, la luxure. Nouveauté pour Gabriel qui n'avait jamais même osé penser à cela. Ils s'approchèrent, chahutèrent à l'ombre d'un vieux container, la jeune femme protesta, tenta de se défendre avant d'apprendre sa première leçon de vie au détour d'un viol baigné dans le sang. "Si tu n'es pas capable d'imposer tes choix, tu obéis". Ce fut dans cette optique que la jeune esclave apprit à se défendre, d'abord pour trouver sa place auprès des autres femmes de sa même condition avec qui elle était entreposée dans un camp de fortune formé de quatre containers et où elles dormaient à même le sol, puis dans l'espoir de trouver une issue à cette vie qui ne lui plaisait pas. Gabriel était rapidement devenue une bête de foire que son maitre s'amusait à afficher dans les bas-fonds, une humaine rendue docile et obéissante par les coups, capable d'assouvir tous les besoins des habitants de l'ombre de Coruscant. Mais chaque journée, chaque client, chaque soirée avec les mercenaires qui gardaient le camp ne faisaient qu'augmenter la rage de la jeune femme à l'égard de celui qui avait tous les droits sur elle. Elle se sentit imprégnée d'une sensation nouvelle, au delà de l'aspect pratique de son meurtre qui lui rendrait la liberté, celui de le voir souffrir et disparaître. L'envie de le faire payer pour tout ce qu'il lui avait fait subir. Jamais auparavant la prostituée n'avait ressenti un tel besoin de faire mal, plus encore jamais elle n'avait ressenti le simple fait de prodiguer la douleur, elle l'avait subie à de très nombreuses reprises depuis son arrivée dans les profondeurs de la mégalopole mais jamais elle n'avait pu réaliser qu'une autre personne qu'elle pouvait ressentir cette peine.
C'est ici que la jeune femme rencontra celle qui changerait le cours de sa vie. Une Togruta qui semblait un peu plus vieille que Gabriel. Attirée par la fougue de la jeune humaine et sa volonté à s'émanciper, elle ne tarda pas à se rapprocher d'elle. Les premiers contacts furent difficiles, Gabriel voyant en elle une énième esclaves tentant lui voler le peu de nourriture qui leur était accordé. Mais le temps et la douceur naturelle de la nouvelle eurent raison de ses soupçons. Avec le temps, la Walsser retrouvait en elle une deuxième mère qui lui apporta réconfort et conseils pour supporter un peu mieux son statut de couche-toi-là; Et l'alien prit peu à peu celle qu'elle aimait à appeler La louve solitaire sous son aile. Les entrainements solitaires de l'adolescente étaient devenues des leçons dont la guerrière du clan Arvas, nommée Tara, devint le professeur. Ainsi, Gabriel apprit quelques rudiments en assassinat dans le but de supprimer celui qui la retenait ici.
Malheureusement pour elle, après un peu moins de deux années à se préparer à affronter son tortionnaire, elle fut conduite sans raisons apparentes avec une bonne vingtaine d'inconnues venues de toutes parts et de toutes races dans ce qui semblait être un énorme vaisseau, ou tout du moins plus grand que tous ceux qu'elle avait vu jusqu'à présent.

Le voyage fut un enfer pour elle. Outre les conditions dans lesquelles les esclaves étaient entassées, le simple fait de savoir que sa vengeance lui échappait à chaque seconde la rendait folle. Sa rage était devenue satisfaction, Gabriel s'imaginait son maitre prit par la peur en ayant apprit qu'elle s'entrainait dans le but de l'achever. Non ce n'était pas possible comment pouvait-il le savoir ? Puis elle plongeait de nouveau dans ses idées noires, perdues entre la haine et la frustration. Elle s'assoupit.


Un réveil brutal. De la noirceur des soutes du vaisseau, les esclaves s'étaient retrouvées confrontées au violent soleil et à la poussière d'une planète inconnue. Le désert s'étendait à perte de vue d'un côté tandis qu'un semblant de village aux habitations faites du même sable durci prenait vie de l'autre. Le Twi'Lek s'approcha du groupe et se mit à donner des ordres que les mercenaires suivirent à la lettre. Tendant l'oreille, l'enfant des Walsser comprit son destin. Son maitre avait une dette qu'il ne trouva pas mieux que de payer avec ses meilleurs esclaves.
Était-ce ainsi que la vie de la jeune femme devait s'achever ? Passer de maitre en maitre jusqu'à ce que son corps l'abandonne ?
Peut-être pas.

Gabriel ne passa pas énormément de temps sur le marché des esclaves de Mos Eisley. Quelques heures après son arrivée sur l'immense place où les commerçants et contrebandiers en tous genres concluaient leurs affaires, une forme se dessina, un homme plutôt fort mais à l'expression convaincante et décidée. La louve ne le remarqua pas réellement avant que le Twi'Lek dont elle était maintenant le précieux bien ne la désigne d'un mouvement de tête. Une paire de main la souleva alors brusquement avant que ses chaines ne soient détachées et qu'elle ne soit conduite devant son nouveau maitre.

« Je ne sais pas qui tu es ni ce que tu vaux, mais tu as de la chance. Tu sembles avoir attiré la sympathie d'une amie commune. Tu es libre. Bonne chance.... »

Sur ces mots, l'inconnu repartit par là d'où il était venu. Déposant au pied de Gabriel un sac contenant des vêtements propres et quelques Dataris. Une nouvelle vie s'offrait à elle, seule, sur une planète qui lui était inconnu. Mais au moins, elle était libre.

Description physique:
Gabriel est une jeune femme d'une vingtaine d'années. Une chevelure constamment teintée de rose descendant juste au dessous des épaules décoiffe une tête ovale aux traits marqués. De grands sourcils reprenant sa couleur naturelle, noirs, appuient un regard tout aussi sombre. En effet, son nez relativement fort mais en adéquation avec le reste de son visage sépare deux grands yeux noirs, à la fois éveillés et plein de surprises mais traduisant la fatigue d'une vie déjà éprouvante malgré son jeune âge. Un regard déterminé qui plonge droit dans le crâne de ceux qui le croisent mais conservant toute fois la désinvolture de la jeunesse. Des yeux qui vous percent à jour mais qui avoue ne pas comprendre ce qu'ils voient. Sa bouche, formée par de larges lèvres charnues possède une couleur naturelle qui rappelle le teint rose de sa coiffure. Sa peau est légèrement bronzée, choquant lorsque l'on sait que la jeune femme vient des entrailles de la mégalopole de Coruscant mais rappelle que ses origines sont ailleurs. C'est d'ailleurs avec confort et aisance que Gabriel habille son corps tout droit hérité de sa mère. Petit, pas plus d'un mètre soixante, et fin, elle possède un ventre plat, une taille fine juste comme il faut pour surplomber des hanches qui ne sont pas très larges non plus et de petites jambes suffisamment musclées pour permettre à l'ensemble de se mouvoir rapidement lorsqu'il le faut ou avec agilité. Ses épaules, en revanche, sont aussi travaillées que ses bras par de longues heures d'exercice et d'apprentissage à manipuler les armes blanches.
Ses mains sont protégées de mitaines amples arrivant au dessus des poignets. Elle porte un débardeur découvrant ses épaules et s'arrêtant juste au-dessous de sa petite poitrine, découvrant très largement son ventre, assortis à un pantalon, relativement ample lui aussi, dans les mêmes tons sablés aux motifs camouflages, mais coupé taille basse. Elle porte une ceinture en cuir à laquelle sont rattachées diverses lamelles faites du même matériaux qui peuvent servir à attacher toutes sortes de choses.
A son coup, se trouve une large écharpe qui peut tout aussi bien protéger son visage des bourrasques de sables très communes sur Tatooine, allant de paire avec un chapeau de cuir et de fourrure pour éviter les insolations en cas d'exposition trop prolongée au soleil.
Le tout lui donne une allure de Louve Solitaire accoutumée de la vie dans le désert, une habitante de longue date de la planète aux deux lunes.

Description psychique:
La jeune femme malgré ses vingts années a déjà été éprouvée sur biens des points dans sa condition de femme, et surtout d'esclave. Sa maladie mentale, l'absence d'empathie, bien qu'aillant montré des signes de résorption vis-à-vis de l'ancien maitre de Gabriel, reste bien présente. Cette dernière lui empêche de comprendre ce que les autres ressentent et même tout simplement de le voir dans la plupart des cas. De façon dérivée, la sympathie ainsi que la compassion sont des éléments psychologiques qui lui font défaut. De façon plus concrète, l'exilée est un peu comme seule au monde. Son univers est composé de gens, certes, mais qui ne sont pas différents des droids, ce sont un peu comme des machines biologiques qui peuvent lui être utile pour certaines tâches, mais sans plus. Ainsi, il lui est très difficile de s'attacher ou de susciter l'attention d'autrui. Avec le temps, elle a tout de même réussi à prendre conscience de sa vision différente du monde pour jouer ses réactions face aux autres si nécessaire. C'est ainsi que ceux qui se prennent d'amitié pour elle, éprouvent un sentiment pour une personne qui n'existe pas vraiment, et qui n'est jamais réciproque. Cela lui pose aussi des soucis dans l'apprentissage de mouvements par exemple, puisqu'elle ne peut pas assimiler la sensation que va ressentir une personne par le simple geste de porter une main à sa bouche par exemple et donc aura des difficultés à le reproduire.
En dehors de cela, Gabriel a compris le fonctionnement de la société dont sa fameuse marque de fabrique, « Si tu n'es pas capable d'imposer tes choix, tu obéis. » Qui est son leitmotiv.

Parcours: \

Transition: \

Voilà fini.
Si vous pouviez me donnez quelques avis

Rien à redire sur le fond. Deux trois coquilles sur la forme mais pas bien grave.
Très agréable à lire, et très très émouvant !
Je pense que je suivrais ton rp avec intérêt ^^

Donc rien à modifier concernant l'histoire, je pense que l'inscription pourra se faire sans aucun souci quand elles seront réouverte

Fiche partie en éval ^^

Sympa que ça plaise

Heu, donc là tu dis que c'est parti en éval' mais il faut que je fasse quoi maintenant ?

Tu attend qu'on te donne une note !

Une fois que tu a eu ta note, ça te fera autant de points à ajouter à tes caractéristiques ^^

Ha ben d'accord ^^

http://swlrpg.jdrforum.com/preparation-des-fiches-de-reinscription-f12/resultat-des-evaluations-des-fiches-de-personnages-t314-30.htm#11624

Félicitations