Cade Horn

Informations Cade Horn:

XP:0
Niveau:1

Argent emporté:0
Argent en banque: 5000

Avertos:0

Métier:Contrebandier
Talent 1: Baratin
Talent 2: Bonne étoile

Caractéristiques:

PUI:12
CON:11
RAP:13
DEX:14
INT:12
DIS:12
PER:13
CHA:12


Bonus Compétences:

Armes Blanches: 0
Armes de Tir: 7
Médecine: 0
Discrétion: 3
Vol: 0
Mécanique: 5
Pilotage: 10
Sciences/Informatique: 0
Commerce: 5
Athlétisme: 3
Agilité: 0
Rhétorique:5
Stratégie: 0
Esquive: 2
Combat à Mains Nues: 3
Vigilance:5
Natation: 0
Langues: 0
Biologie et Chimie: 0
Intimidation: 2

Race: Humain, Corellien

Background:
Histoire: Alderaan, planète de culture et de sagesse, endroit rêvé pour la bourgeoisie notoire ou même pour les faux bourgeois en mal d’être. Un endroit symbole de bonne vie, où les artistes pouvaient être reconnus et les gens d’esprit adulés. Pourtant mêmes les plus grands esprits ont leurs faiblesses et c’est grâce à ces dernières que Cade Horn allait pouvoir passer au travers des méandres judiciaires.

Il était débarqué sur la planète quelques semaines plutôt afin d’y prendre une cargaison particulière pour un ami et il se retrouvait maintenant cloué sur la planète. Il va sans dire que la dite cargaison n’était pas totalement en règle avec la loi, c’est ce qui arrive lorsqu’on essaie de quitter une planète de hippie avec une espèce animale protégée. Il faut aussi ajouter que l’attitude plutôt cavalière du corellien face à cette jeune officière des douanes avait peut-être joué en sa défaveur.

Mais bon, le résultat était là, il se trouvait cloué à l’astroport en attente de la visite d’une équipe d’inspection spéciale, qui devait faire le jour sur la provenance de la cargaison qu’il devait ramener sur Corellia.

La bureaucratie étant ce qu’elle est, il fallu plus de deux jours avant que le moindre inspecteur ne pointe le bout de son nez. Son rapport primaire conclue que la cargaison était saine et ne comportait aucun danger pour la vie d’autrui et que l’inspecteur en chef pourrait venir faire son investigation. Encore une fois, le corellien, qui n’était pas le plus patient du monde, dû attendre deux jours avant de voir se pointer l’inspecteur en chef, un homme aux allures d’aristocrate grand et maigre.

Il commença par inspecter la marchandise de base, tout était en règle, les armes qui se trouvaient dans le vaisseau étaient toutes enregistrées. Puis vint le temps d’inspecter les caisses de produit alimentaires, c’est à ce moment que le Corellien décida d’entrer en jeu.

L’inspecteur était afféré à ouvrir une caisse lorsque le jeune homme, dans la vingtaine s’approcha de lui. Ce dernier tourna le regard vers le corellien ; physique moyen (bien que ses vêtements semblaient cacher une excellente forme physique), cheveux blond, yeux vert, un type comme les autres quoi.

-Je peux vous aidez ? J’ai du travail à faire…

Le ton assez brusque de l’inspecteur en aurait refroidit plus d’un, mais le jeune corellien ne sembla pas ébranlé le moins du monde. Il sourit même calmement.

-Je crois que vous pouvez en effet m’aider, vous savez ce que contiennent ces caisses selon les registres que vous avez en main? De la viande de Gizka. Vous savez ce qui arrive lorsque l’on expose ce type de viande à l’air libre pendant plus de 5 minutes sans avoir un système de refroidissement approprié ? Sûrement pas puisque vous alliez l’ouvrir… Et bien elle pourrie et dégage une odeur telle que même un Gundark aurait envie de vomir.

L’inspecteur sembla hésiter quelques instants. Le Corellien souriait intérieurement, son baratin semblait fonctionner et avec un peu de chance, l’inspecteur passerait toutes les caisses identifiées comme viande de Gizka.

-Ouais… peu importe ce n’est pas mon vaisseaux, j’ai un boulot à faire et qui me dit que vous n’essayez pas de me rouler…

Le corellien était visiblement un peu frustré de l’acharnement du fonctionnaire ; le crétin moyen se serait laissé berner aussi facilement qu’un gungan. Toutefois le corellien n’était pas au bout de ses ressources, il possédait encore plusieurs cordes à son arc et il allait utiliser une autre tactique contre son interlocuteur.

-Pour être honnête, l’histoire de l’odeur était plutôt pour vous empêcher de faire une bêtise monumentale l’ami. Ces caisses de viande de Gizka, vous savez à qui elles sont destinées ? Et bien à Jabba le Hutt en personne et il n’aimerait vraiment pas voir sa marchandise abîmée par un inspecteur trop aventurier si vous voyez ce que je veux dire…

Un tir de pistolet laser n’aurait pas pu faire mieux que ces paroles chocs. Dès qu’il entendit le nom de Jabba, le facial du fonctionnaire devint livide, il échappa sa barre de fer, qu’il utilisait pour ouvrir la caisse, et fît un pas en arrière comme s’il avait en face de lui le plus dangereux des seigneurs Sith. Le corellien savait la partie gagnée.

-Ne vous en faites pas, si vous oubliez ces caisses de viandes qui sont totalement en ordre, je vous en assure, vous n’aurez rien à vous reprocher et vous pourrez dormir tranquille.

Le fonctionnaire balbutia une réponse incohérente, mais affirmative. Il remplit rapidement ses papiers et affirma au corellien que tout était en règle et qu’il avait l’autorisation de quitter la planète. Cade ne pût s’empêcher de rire du malaise de l’inspecteur alors qu’il chauffait les moteurs. Il devait faire vite et rejoindre Corellia, car sa livraison devait être à destination sous peu.

Le voyage se passa sans embûche et le Corellien rejoignit sa planète natale sans problème. Là, il transféra les caisses marqués « viande de Gizka » dans un fourgon et prit la direction d’un des quartiers riches de Coronet. Il trouva un restaurant, le Grand Condor où l’attendait un vieil ami, Strauss Von Zimerich, un jeune chef très en vogue. À la vue de Cade ce dernier sembla fort excité.

-Tu as ma commande Cade ?

-Ouais, j’ai t’ai foutus volatiles, des Goraks c’est ça… Et bien tu sauras mon cher que tes jolis emplumés sont maintenant une espèce protégée sur Alderaan et qu’il m’aura fallu quelques tours de passe-passe pour te les fournir.

Le jeune chef comprit où le contrebandier voulais en venir.

-D’accord, tu veux un petit extra c’est cela… pas de problème, après tout ces oiseaux feront une entrée merveilleuse pour la visite du président demain soir. Tiens voilà tes crédits.

Strauss tendit l’argent à Cade qui s’empressa de l’empocher, pour ensuite retourner son regard vers son ami.

-Tu me retrouves au bar ce soir après ton boulot ? Une petite partie de pazaak pour te refaire ça te dit ?

Strauss regarda le contrebandier avec une expression qui voulait tout dire.

-Oh non ! Tu ne me plumeras pas encore une fois avec ton foutu jeu de carte, pas question…

-Bon pas grave alors, viens juste prendre un verre…

-On verra… j’ai encore du travail à faire sur mon menu pour demain.

-Bien…

Le contrebandier salua amicalement le jeune chef et se dirigea vers le bar dont il avait parlé en empruntant diverse ruelle, visiblement à son aise dans cette ville qui l’avait vu naître. Il atteignit l’établissement, situé à la limite des bas quartiers, en moins de vingt minutes. Après s’être frayé un chemin parmi les clients qui faisaient la file à l’entrée il passa le portier. Ce dernier lui ouvrit dès qu’il l’aperçu, malgré les protestations des gens qui faisaient le pied de grue depuis quelques temps. Cade se dirigea directement au bar sans même se soucier des gens présents à l’intérieur.

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L’endroit était plutôt ordonné pour un bar situé si près des bas quartiers et le calme inhabituel d’un tel établissement laissait également planer un certain mystère sur la vraie nature de ce bar. Pourtant Cade lui s’y sentait comme à la maison et pour cause, il avait été élevé ici. Son père en était le tenancier, homme quelque peu bedonnant dans la quarantaine avancée, il se faisait une fierté de garder son établissement « propre ». Sa mère elle, était serveuse, c’est là qu’elle avait rencontrer le paternel Horn et c’est dans cet établissement même que le gamin fût conçu. Il était donc logique qu’il s’y sente comme à la maison.

Il passa donc sa jeunesse entre les tables de sabbacc et de pazaak, parmi les bouteilles d’alcool et leurs éternels dépendants. Bien sur, il apprit ainsi beaucoup sur la vie interlope, le bar familial à son origine étant beaucoup moins fréquentable que maintenant, les rixes y étaient monnaies courantes et le gamin fût malgré lui quelques fois victime de celle-ci. C’est pour cette raison, que son père avait décidé d’améliorer la sécurité de son établissement, après que Cade fût atteint d’une chaise perdue lors d’une bataille.

Pour s’y faire, il fît appel à un petit syndic local qui, via un versement mensuel, assurerait que les lieux furent plus « sécuritaire ». Cade se mit donc à côtoyer plusieurs des membres de cette organisation qui bien évidemment avait fait de l’établissement de son père leur lieu de rencontre hebdomadaire. Le gamin devint rapidement l’un des leurs et on l’initia lentement au monde du crime organisé.

L’adolescence, cette période si trouble dans la vie d’un enfant fût pour lui constituer : de divers légers larcins, d’un rite d’initiation un peu hors du commun, qui aurait pût lui valoir quelques années en prison et bien sur de l’adhésion en tant que membre à part entière au sein du groupe criminel. Il passa les trois années suivantes à effectuer divers boulots pour l’organisation, allant du trafic de marchandise au rackette de commerce.

Heureusement pour lui, lorsque la Corsec mis à bas l’organisation pour qui il travaillait, il se trouvait à l’extérieur pour aller prendre une cargaison d’épice pour revendre à un contact au cœur de Coronet. Lors de sont retour, il trouva l’organisation complètement démantelée, et les têtes dirigeantes, soit mortes lors d’une fusillade pendant l’arrestation, soit sous les verrous. Il se retrouvait donc avec une cargaison à livrer, il termina le boulot par lui-même. Il commença par la suite à travailler à son propre compte, dénichant des contrats occasionnellement. Il se spécialisa uniquement dans la contrebande, laissant les autres types de larcins pour d’autres. Voilà où il en était aujourd’hui, un contrebandier avec un travail trop irrégulier, puisqu’il n’avait pas d’employeur stable. Heureusement pour lui sa famille était là dans de tels moments creux et c’est pourquoi il avait trouvé refuge ici.

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Une fois assit au bar, il attendit que son père se retourne vers lui, la réaction de ce dernier en fût une de joie extrême.

-Hé hé ! Fiston, content de te voir, tu restes dans le coin longtemps ?

Sans même lui laisser le temps de répondre, il lui tendit un verre de whiskey corellien que Cade prit avec joie.

-C’est fort possible, je vais devoir me trouver un autre boulot, parce que mon dernier contrat est terminé, donc je devrais être ici le temps que les choses débloques à nouveau pour moi. Ma mère est dans le coin ?

-Ouais, elle sert aux tables de pazaak, tu devrais aller lui dire bonsoir. Pour le boulot, on en reparlera, il y a une organisation qui œuvre dans le secteur maintenant, ça pourrait peut-être t’intéresser…

-Justement j’avais bien l’intention d’aller plumer un ou deux joueurs ce soir. Parfait on verra plus tard, maintenant c’est le pazaak.

-Ne cause pas trop d’ennuie tu veux, la dernière fois j’ai dû remplacer une de mes tables de pazaak et tu sais que c’est truc sont assez dispendieux…

-Ne t’inquiète pas, il n’y aura pas de casse, promis.

Le contrebandier se dirigea vers le fond de la salle où un petit salon avait été érigé pour les joueurs de pazaak Là, il trouva sa mère qui servait à une table où se trouvait, comme par hasard une place vide. Il se dirigea d’un pas ferme vers cette table où les jetons de crédits semblait être plutôt affluent. Sa mère en le voyant le pris dans ses bras ce qui le rendit quelque peu mal à l’aise n’étant pas trop habituer a ces expression de tendresse en publique. Puis elle tourna son regard vers les joueurs de pazaak.

-Voici mon fils, tentez de ne pas trop le plumer, c’est un amateur…

Et bien voilà, c’est de là qu’il tenait ce coté baratineur, il avait appris de la meilleure et maintenant sa table était mise, il pourrait avec joie plumer ces joueurs qui le prendraient pour un débutant. Il alla s’asseoir à la table le sourire au lèvre, disant à ses futurs partenaires de jeux qu’il en était à sa troisième partie seulement, mais qu’il tenterait de ne pas trop mal paraître. Voilà ce qu’était sa vie, la contrebande, le jeux et la simple joie de vivre et profiter au maximum des crédits mis à sa disposition. Un amour pour l’argent que plusieurs contrebandier partage quoi.

Description physique : Un type qui se fond bien dans une foule, voilà le genre de type qu’était Cade. Une taille moyenne, des yeux vert, rien de particulier quoi. Toutefois ses cheveux blonds avaient le don d’attirer quelques regards occasionnels, spécialement auprès des dames, où il avait une belle réputation. Assez athlétique, son corps est plutôt musclé, sans l’être à l’excès. Il cache toutefois, habituellement, ce dernier sous un manteau long. Un t-shirt brun et un pantalon noir complète habituellement on attirail vestimentaire.

Description Morale : Cade est une personne assez facile d’approche, bien qu’il soit assez vigilent face aux inconnus, sont métier l’y ayant habituer. Ce coté sociale lui vient du fait qu’il ait été élevée dans un bar parmi une clientèle vaste et varié. Il est de ce fait également habitué aux diverses espèces qui peuple la galaxie et a réussi après grand effort à les accepter.

Cade a le verbe facile et il n’hésitera pas à embellir la réalité afin de mieux faire passé ses propos, il a rapidement compris que dans ce monde, mieux vaux profiter des gens influençable que de se faire avoir. Il est donc un opportuniste qui profite des petites occasions que la vie lui réserve et cette dernière lui sourit souvent. En effet, la chance semble souvent être de son coté, c’est pourquoi jusqu’à présent il a sûrement évité la prison.

Cade est un corellien fier et n’hésitera pas à défendre l’honneur de sa planète et de sa patrie si besoin est. Il se fait donc un honneur de promouvoir la cause corellienne dans ses divers voyages et de promouvoir les intérêts du « commerce » corellien.