Redark Chimera

Informations:

XP: 10700
Niveau: 5

Argent emporté: 21598
Date d'inscription: 24/08/2006
Avertos: 0

Nb messages: 1124

Métier: Agent de la CorSec (Même si je ne pense pas que ça soit encore d'actualité)

Talent 1: volonté de vivre
Talent 2: fine gachette


Objets possédés:
- Blaster E-11
- J'avais également obtenu un objet lors d'un événement MDj...
(Mais,n'ayant toujours pas découvert son utilité, va falloir que je reprenne le filon)

Aucune Formation.


Statistiques:

Caractéristiques:
PUI: 15
CON: 13
RAP: 15
DEX: 14
INT: 12
DIS: 10
PER: 10
CHA: 11

Compétences:
Armes Blanches: 8
Armes de Tir: 14
Médecine: 0
Discrétion: 5
Vol: 0
Mécanique: 0
Pilotage: 0
Sciences/Informatique: 0
Commerce: 0
Athlétisme: 2
Agilité: 5
Rhétorique:0
Stratégie: 0
Esquive: 10
Combat à Mains Nues: 13
Vigilance: 10
Natation: 0
Langues: 0
Biologie et Chimie: 0
Intimidation: 3


Histoire:


Redark naquit sur Garqii, une planète reculée, très loin de la planète mère Républicaine. Ce jeune homme est le deuxième enfant d’une famille nombreuse, dont le père était un brillant militaire. Assez tôt, Létal, le père du garçon, profita de sa position comme général de l’armée pour l’envoyer dans une école militaire où il put apprendre toutes les règles qui régissent l’armée. Les conditions d’entrée en école étaient assez strictes et sans cette appui, Redark n’aurait pas put rentrer dans cette école. Brillant et travailleur, le jeune homme se distingua par des notes plus que convenables et un intérêt important pour les matières enseignées. Passionné, Redark faisait la fierté de son père. Assez vite, le jeune homme prit son père pour exemple, le prenant pour une sorte d’idole et adoptant ses points de vue sur beaucoup de sujets. A tel point qu’il n’était guère possible de faire la différence entre le père et le fils au point de vue moral. Les frères du jeune homme, notamment l’ainé, étaient jaloux d’une telle réussite, mais surtout de la fierté et de l’intérêt que portait leur père sur lui. Cette jalousie finit par créer une relation tendue entre les frères qui engendra de nombreux coups bas de la part des deux frères. Redark supporta cela pendant plusieurs années, créant en lui une colère qui s’amplifiait avec le temps. A tel point qu’il sabota la moto-jet de son ainé, entrainant la mort de ce dernier, alors que Redark ne souhaitait lui qu’un simple avertissement. Responsable de cette mort prématurée, il fut rongé par les remords…

Deux ans plus tard, une guerre éclata entre l’armée de Garqii et les pirates locaux, qui avaient déjà fait tomber un système plus faible non loin de la petite planète. Vite dépassé, l’état major garq dû envoyer au front les jeunes militaires afin de participer à l’effort de guerre. Redark et son frère ne manquèrent pas à l’appel. Son frère, ainsi que plusieurs autres adolescents, fut envoyé sur une mission de reconnaissance dont il ne revint pas. Nul ne sait s’il fut fait prisonnier ou simplement tué. Redark quand à lui fut plus chanceux. Létal avait insisté pour avoir ses fils sous ses ordres, mais seul Red’ fut retenu. Il ne quittait que très peu son père, car ce dernier craignait qu’il lui arrive la même chose qu’à son frère, d’autant plus qu’il était le dernier de ses fils… Les combats qui opposaient Garqii aux pirates étaient rudes et extrêmes. Les pertes se comptaient par centaines à chaque bataille. Le peu de fois où le jeune homme quitta son père, il le faisait en compagnie de Maelström, son oncle. Agissant tel un garde du corps, le jeune homme était toujours en sécurité, même si parfois la situation était critique. Rapidement, les adolescents furent envoyés en mission de sabotage. Redark demanda à intégrer ce groupe, malgré l’opposition du paternel. Il allait se retrouver seul derrière les lignes ennemies, sans protection ni moyen de secours. Létal ne put s’opposer devant l’état major qui envoya le jeune homme en mission. Avec son groupe, il parvint à neutraliser plusieurs installations, profitant notamment de « traditions pirates » pour passer inaperçu, notamment la nuit, envoyant parfois ses collègues distraire l’ennemi en leur offrant de l’alcool. La supercherie fut vite découverte et ne fonctionna pas dix fois. Les adolescents qui continuèrent d’utiliser cette stratégie furent emprisonnés, torturés ou tués. Red’ continua cependant à neutraliser des installations, manquant parfois, voire souvent de se faire pincer. Après un an, Redark revint finalement auprès de son père. Ils avaient gagné tout deux des cicatrices et quelques marques de brûlures. Les combats commençaient à perdre de leur intensité, mais pas de leur rage de vaincre. Les troupes s’amenuisaient dans les deux camps. Six mois après son retour, alors âgé de 13 ans, Redark participa à un combat qui allait changer sa vie. La fatigue gagnait les hommes qui l’entouraient, ainsi que le désespoir. Une vingtaine d’homme en affrontait une trentaine, la défaite semblait certaine. Les deux camps se faisaient face, ils pouvaient presque sentir l’haleine de leur adversaire. Les armes à la main, ce dernier affrontement allait sceller le sort de l’un des deux camps. Un hurlement retentit, les lames et les haches se levèrent dans le ciel, alors que les corps se préparaient à s’entrechoquer. Le choc fut terrible, plusieurs s’entretuèrent sur le coup, alors que certains perdaient une partie de leur corps. Le combat fut rude et long. Red’ n’échappa point à un coup de hache qui lui lacéra superficiellement la colonne vertébrale. Il s’évanouît… A son réveil, il ne put que voir des lumières brutales et agressives qui ne laissaient aucuns répits à ses yeux. La douleur le tenaillait, il ne pouvait pas même bouger, il hurlait intérieurement. Au dessus de lui, des visages firent leur apparition, ils étaient masqués. Les yeux du jeune homme se refermèrent progressivement…

Redark fut sauvé in extrémis, après une semaine de coma. Six mois plus tard, la guerre prenait fin, et l’adolescent ne put participer à la ce celle-ci. Déçut mais également satisfait d’avoir participé à l’effort de guerre, il était désormais incapable de bouger aussi aisément qu’avant son accident : marcher était difficile, courir impossible. Il était obsédé par la perte de ses moyens physiques et souffrait de ne plus pouvoir exercer sa passion militaire. L’état-major trouva bon de lui attribuer une rente en remerciement pour son patriotisme et sa grave blessure. Quelques mois plus tard, un nouvel assaut pirate eut lieu. Sortant d’une guerre impitoyable, Garqii n’avait plus trop de ressources pour affronter cette menace. Toutes les troupes furent envoyées sur le front, dont Létal. La bataille ne dura que quelques jours et fut soldée par une victoire. Cette victoire marqua également la perte du père de Redark, qui, terriblement choqué par cette perte, parcourra sans relâche, malgré son handicap, les ruines du combat, cherchant avec désespoir une preuve de son décès. Il ne retrouva que son long manteau noir parmi les décombres… Manteau qu’il ramena chez lui et qui ne quittait désormais plus son nouveau propriétaire. En proie à une rage inégalée, l’adolescent utilisa ses fonds et une grande partie de la richesse familiale, pour construire un laboratoire dans les montagnes. Il engagea de nombreux scientifiques, notamment des Kaminoiens pour mener des recherches sur la génétique. Le personnel présent dans les laboratoires ne le quitta plus. Les conditions de vie étaient déplorables et nombreux furent ceux qui tentèrent de fuir, mais aucun n’y réussit, et certains disparurent « mystérieusement ». Quand aux conditions de vie, elles étaient tout à fait immorales : les lits étaient inconfortables et nombreux furent les scientifiques qui durent partager leur couche.

Les recherches progressaient relativement vite, alors que les mécontentements s’intensifiaient. A aucun moment le jeune homme ne discuta avec son personnel sur les problèmes de celui-ci. Un an plus tard, le jeune homme obtint ce qu’il voulait. Sacrifiant son visage pour pouvoir porter un masque de métal quasiment impénétrable, recouvrant sa colonne vertébrale d’une couche de métal solide mais souple, à laquelle étaient reliées de nombreuses terminaisons nerveuses, qui augmentaient ainsi ses reflexes. Ses épaules furent également recouvertes de cette matière métallique, sur laquelle fut greffée, par la suite, une paire de bras mécanique pouvant exercer une pression nettement supérieure à la normale. Les chercheurs mirent au point un sérum capable d’augmenter les capacités de ce qu’on pouvait désormais appeler « Cyborg ». Ce sérum, une fois injecté, permis à Redark d’obtenir une force surhumaine ainsi qu’une endurance supérieure. Sous sa boîte crânienne, il fit implanter un micro-ordinateur, relié à son nerf optique, lui donnant ainsi de nouvelles compétences : tels que la vision nocturne, la vision thermique et également un zoom. Aussitôt les modifications apportées, le Cyborg laissa exploser sa colère qui le rongeait depuis des mois, attisée par une souffrance incomparable due aux opérations. Les scientifiques furent tous tués, un par un, inlassablement, des mains du Semi-Homme. Redark Ché’Miros’Rark était mort et laissait derrière lui un triste héritage : celui de Chimera. Une machine de guerre qui n’avait soif que de sang et de vengeance. Une fois le personnel assassiné, le Cyborg synthétisa les plans de sa « construction » ainsi que la formule du sérum. Il stocka également d’autres plans qu’il tenait secret depuis longtemps et sur lesquels il avait travaillé seul. Le labo fut détruit, et le Cyborg retourna à la Civilisation. Accueillit dans sa ville comme un meurtrier, il fut victime d’une tentative d’assassinat qui tourna mal pour les commanditaires. Il erra seul quelques jours, seul, avant de rencontrer des pirates qu’il rejoint après un long et dur combat qui se solda par une égalité. Redark resta longtemps un simple soldat, aux côtés de Rayac Sorrow, un jeune pirate dévoué qui ne parlait que de son jeune frère perdu : Adokin ; Ainsi que Metirac Grevyard, un homme machine lui aussi. Rayac devint vite commandant des forces terrestres, alors que Metirac commandait les forces spatiales. Redark quand à lui, restait toujours en bas de l’échelle. Ce qui provoqua une frustration chez lui. Il ne se remettait pas en cause, alors que s’il ne progressait pas, c’était bien de sa faute. Il n’écoutait pas les ordres et faisait comme bon lui semblait, sacrifiant parfois ses hommes, ou les tuant lui-même lors des combats rapprochés. Une phrase envers son commandant marqua d’ailleurs les esprits : « Au combat, c’est tué, ou être tué. J’élimine quiconque se fout sur mon ch’min… Enn’mis…Comme Amis… ». Les chefs pirates lui donnaient du sang et de la chair et Redark s’en satisfaisait, malgré sa rancœur pour le statut qu’il occupait, jugeant ses compétences bien supérieures à celles de n’importe qui dans le clan. Durant sa carrière il acquit une habilité au combat hors normes et de l’expérience en matière de destruction d’installations. La stratégie lui faisant cependant toujours défaut…

Bientôt, Rayac allait présenter sa démission pour fonder son propre clan. Redark tenta de le suivre, mais fut retenu par les chefs pirates. Sur les neuf, cinq furent tués, un blessé et les autres purent s’enfuir. Plus rien ne retenait Chimera qui rejoint donc son ami. Metirac quand à lui n’était pas au courant, puisqu’il était sur un système voisin, à piller une petite ville sans défenses. A peine le nouveau clan fut il fondé et implanté sur un petit système reculé, qu’il subit un assaut de grande envergure. L’ancien clan tout entier venait affronter cette poignée d’hommes récalcitrants. Parmi les troupes en présence, Metirac à bord de son Invisible Hand. Les canons ouvraient le feu, sauf ceux de Grevyard qui restaient étonnamment silencieux. Aussitôt, les vaisseaux du clan Sorrow décollèrent et partirent à l’assaut de cette menace implacable, nourri d’un désespoir certain : celui de leur défaite. Ils savaient qu’ils ne gagneraient pas face à tant d’hommes. Redark aborda un vaisseau ennemi dans lequel il combattit fièrement les troupes, tandis que Rayac montait à bord du invisible Hand. Quelques minutes après, les canons se firent entendre, détruisant le vaisseau amiral, et endommageant sérieusement un second vaisseau. Impressionné par ce retournement de veste, le reste des vaisseaux durent fuirent fasse à l’appareil le plus puissant des deux flottes en présences. Metirac rejoignait finalement le clan Sorrow, au grand bonheur de Rayac et Redark. Ensemble ils fondèrent donc un clan reconnut dans plusieurs systèmes et craints par beaucoup. Ce clan dura quelques années, avant qu’il se dissolve : Rayac partit à la recherche d’Adokin, Metirac rejoignit le Techno-Syndicat, alors que Redark lui, partait à la recherche de nouveaux combats, en quête de plus de puissance…


Description physique:

Homme imposant de 2m15, Redark possèdent une paire de bras mécaniques et chacun pouvant exercer une pression importante d’environ 50 Kilogrammes par centimètre carré. Cette paire de bras est repliée dans son dos et n’est pas visible de l’extérieur, puisque cette paire est cachée par son manteau. L’homme en lui même pèse 96 Kilos, mais avec l’équipement ajouté, Redark avoisine les 106 Kilos. La colonne vertébrale est visible depuis l’extérieur, une fine couche métallique parcours la peau de cette colonne. Son visage est sombre, son regard inquiétant. Vêtu d’un manteau noir long, se cache sous ce dernier, une veste sans manches, multi-poches noire. Il laisse apparaitre ses abdominaux volontiers. Son pantalon, sombre également, est lui aussi multi-poches. Il porte quelque marques de combat tels que des rosissements ou de petites entailles. Ses muscles assez imposants laissent savoir que Redark a connu un travail physique assez rude et régulier.

Description psychique:

Têtu mais sympathique, Redark est un homme qu’il ne faut pas chercher, son tempérament peut changer du tout au tout sur quelques mots. Il ne connaît pas la pitié et se laisse volontiers entraîner dans un massacre. Ne supporte pas vraiment l’autorité, il reste cependant calme et agit selon son bon vouloir. Ce qui ne lui est pas bénéfique lui importe peu. Il apprécie les différentes manières de faire souffrir les gens, ou bien d'instaurer un climat de peur et une atmosphère étouffante. Son caractère tranquille, sage, réfléchis lui ont permis d’avoir des capacités tactique hors pairs, lors de sa jeunesse. Désormais, il ne s'attarde que peu sur l'analyse critique de la situation et se contente de foncer assez rapidement dans des situations délicates, desquelles il se sort généralement avec quelques pertes...
Une fois sa loyauté accordée, celle ci est sans faille. Toutes ces caractéristiques en font un parfait allié et un dangereux ennemi. Hélas, son mépris des ordres et de l'autorité apparaît comme un sérieux handicap lors de combats nécessitant un plan parfaitement organisé.

Transition: (a été validée par la Team)

Red', après avoir quitté la planète est revenu sur Corellia, il a suivit avec attention les évènements qui opposèrent les Coynites et les Rép'.
Après avoir vu la défaite des Coyns face aux Républicains, le Cyborg, indigné, entre en contact avec la fédération du Commerce, sous le faux-nom de Ha'Tred, le visage caché par une capuche, et lui propose ses services. Son physique semi-Droïdesque et ses parties humaines cachées par un épais manteau obscur, lui permettent de convaincre les Dirigeants de lui offrir une place à la tête d'escouades Droïdes. Il fera ses preuves en débarquant sur Coyn à la tête de bataillons Droïdes et participant ainsi à la prise de contrôle de la planète, même si, en réalité, il n'était pas un fin stratège et que la victoire reposa principalement sur le nombre et l'incapacité du Techno-Syndicat à répliquer, plutôt que sur les quelques actions du Cyborg. Une fois sa mission achevée, il resta sur la planète et profita de la Guerre Civile pour faire régner un petit régime de terreur, en pillant, notamment, les petits commerces déjà en piteux état.

Il ne resta que trois mois sur la planète avant d'envahir Utapau en temps que Soldat d'élite. Il fut chargé de détruire quelques installations stratégiques avant l'assaut de la FDC, notamment les centres de communications et quelques casernes. Sur Utapau, Red' ne resta pas coupé du reste de la galaxie, et se renseigna régulièrement sur la situation militaire. Le 31 Septembre, apprenant que le Chancelier ne faiblirait pas, il disparut de la circulation, repartant sur Corellia où il s'exila. Il se fit discret et évita d'être remarqué ou reconnut, même si le Vice-Roi n'avait jamais vu que la main métallique du Semi-Droïde. Il patienta ainsi, attendant une occasion de réapparaître, jugeant que cette Guerre ne tournerait bien que pour la République, une fois encore. Il resta cependant en contact permanent avec Castle, l'informant régulièrement sur les avancées de la Fédération du Commerce, écoutant avant tout les ordres du Bédonnant...