Lynn Konnair

Je vais faire vachement original pour la présentation:

situation avant la coupure :
Lynn venait d'être engagée, en compagnie de Demel et Nirov, pour jouer la police dans les corons d'Holyrock.

Pendant le saut temporel :
Vu ce qui s'est dit sur l'autre mission de mercenaires, et que Demel a confirmé, il n'y a finalement pas eu rébellion. Du coup, la mando'a s'est fait chier sur le caillou paumé jusqu'à la fin de son contrat (soit environ deux mois pour rester cohérent avec ce qui s'est dit à côté). De là, retour sur Bespin. Avec finalement pas tant d'argent que ça, la "paye confortable" ayant été fortement entamée par les prix pratiqués sur Holyrock par la compagnie qui après tout y possède l'exclusivité (économie de coron quoi).
Après quelques jours nécessaires à récupérer de la grisaille perpétuelle de la mine, et surtout à trouver un autre boulot si possible rentable ce coup-ci, Lynn semble voir une opportunité sur les chaînes d'informations. En effet, on parle scandalisé du massacre qui a eu lieu sur Coyn. Et des mines abandonnées en catastrophe par les entreprises étrangères. Mines qui viennent d'être réclamées par le Techno-Syndicat. Sentant l'affaire pointer le bout de son nez, la mandalorienne décide de voir si la société multiplanétaire recrute. Après tout, on ne va pas comme ça sur une planète qui vient d'être victime d'un génocide en bonne et due forme.
Lynn vient tout juste de se faire engager quand on apprend la nouvelle: la FdC vient de prendre Coyn de force. Elle fait partie des troupes au sol qui étaient sensées prendre position sur Coyn lors de la tentative de reprise de la planète, mais le Techno-Syndicat ne parvient pas à percer le blocus. Adieu perspective de bataille. Les mercenaires sont alors redéployés sur d'autres planètes. Bonjour métier chiant. Chance pour Lynn, elle ne va pas renforcer la garnison d'Utapau qui ne tarde pas à tomber.

Situation à la réouverture :
On retrouve donc une mercenaire passablement irritée de toujours trouver des plans foireux (elle aurait mieux fait de se faire engager par le FdC, au moins elle aurait eu des primes de risque), pour l'instant en poste sur une planète du Techno-Syndicat qui pense quand même qu'il risque bien moins de se faire agresser depuis que les FAR sont passées à l'offensive. Certains parlent de rumeurs de revanche. Mais Lynn sait pertinemment que le Techno-Syndicat ne lèvera pas un petit doigt si les FAR font tout le boulot aux frais du contribuable. Heureusement que son contrat est sur le point de se terminer, avec un peu de chance elle aura de quoi enfin pouvoir s'acheter son propre blaser. A moins bien sûr que les rumeurs soient vraies.

up!

Tiens, j'en profite pour rajouter quelques activités pendant la période où Lynn cherche un boulot: elle essaie de se renseigner sur l'identité du Hutt qui est responsable de sa capture. En partie parce qu'elle pense bien lui nuire dans un futur assez lointain, mais surtout parce qu'elle voudrait savoir si elle est la seule de son clan à avoir survécu à l'escarmouche (c'était précisé dans mon BG, mais en gros une trentaine de mandaloriens, qui se sont fait en bonne partie hacher au blaster). Elle espère quand même que sa maman chérie ou son frère sont encore en vie. On sait jamais. Pour l'instant, (et parce qu'elle doit d'abord se procurer un matériel décent) elle ne consacre pas énormément de temps à cette enquête, donc je pense que le nom e la limace est tout ce qu'elle aura eu le temps d'obtenir.


Voilà, sinon je pense être le seul à choisir le camp des grands perdants dans l'affaire Coyn, mais bon au moins j'aurais pu discuter avec quelques confrères pendant tout cet intervalle. Comment ça d'après les descriptions de l'ellipse ils ont pas beaucoup de conversation les mercos du Techno Syndicat!? Bon, au moins vous comprendrez pourquoi la mandalorienne reviendra d'humeur (plus) exécrable (que d'habitude).

Désolé du triple post.

Je voudrais juste savoir si quoi que ce soit pose problème dans ce que j'ai mis avant histoire de m'atteler un peu à la chose.

Pour ma part, je vois pas grand chose à redire. Ca me semble bon